lundi 25 octobre 2010

Transcription

Monsieur le maire, Mesdames et Messieurs, bonsoir.

Merci Monsieur le Maire de m'inviter et de m’autoriser à m'exprimer devant votre conseil municipal pour vous apporter, comme vous l'avez évoqué, des éléments d'éclairage à la fois sur la politique du logement de l’État dans le département des Yvelines et bien évidemment dans votre commune, et puis également pour vous apporter des éléments d'éclairage sur l'opération de l'Hôpital.

Pour l'opération elle-même, les attentes que l'État peut en avoir, la manière dont il en conçoit la réalisation, parce que je crois qu'il faut toujours resituer une décision publique, comme celle que vous prenez, dans un contexte un peu plus large, je voudrais vous dire deux mots de la politique du logement dans le département, également dans votre commune.

La politique du logement c'est la première préoccupation des franciliens. Cette préoccupation est forte en raison du manque de logements. Il y a deux origines : bien sûr l'évolution démographique, Dieu merci notre pays est un pays qui gagne en démographie, mais aussi une deuxième raison très « francilienne » qui est liée au mécanisme de « décohabitation » qui fait que même à population constante dans une famille, quand on a des enfants, parfois des événements difficiles de la vie, quand on se sépare, de manière quasiment mécanique, le besoin en termes de logements augmente et, que ce soit pour la commune du Vésinet ou pour la partie de l'arrondissement de Saint-Germain qui a des caractéristiques sociologiques assez proches en termes de comportement, on estime que le simple mécanisme de « décohabitation » c'est un besoin de création de 6 à 7% de logements.

On appelle cela d'ailleurs le point mort.

Cela veut dire que d'ores et déjà quand vous pensez à l'avenir de votre commune, que vous réfléchissez à des problématiques d'urbanisme ou de planification territoriale, avant même de vous demander, de savoir quelle sera votre population dans les 5,10,15,20 ans, car vous allez dessiner le paysage du Vésinet bien évidemment pour les 10 à 20 ans à venir, avant même de vous demander si votre population augmente, mécaniquement, par ce mécanisme de « décohabitation », il existe déjà un besoin de création de logements qui est évalué à 6 à 7%.

Pour vous donner quelques chiffres sur votre commune, ce point mort est évalué à 45/46 logements par an. Il peut être évidemment tempéré si on occupe les logements vacants. Vous avez dans votre commune un niveau de logements vacants qui est désormais à peu près comparable à la moyenne départementale.

Il faut que vous sachiez qu'au cours des six dernières années il y a eu un fort taux de réoccupation des logements vacants et l'on constate sur l'ensemble de la partie nord-est de l’arrondissement que l’on a réoccupé près de 3000 logements vacants. De ce fait aujourd’hui vous êtes dans une situation de logements vacants à peu près conforme à la moyenne départementale et votre point mort, le simple besoin de logements lié à la « décohabitation » est d'environ 45 logements.

Pour vous permettre de comparer on a construit dans cette ville, entre 2000 et 2005, 8 logements par an. Vous voyez que la politique du logement à l'échelle du Vésinet, avant même qu'on parle de croissance démographique, avant même que l'on parle de politique volontariste, représente un enjeu.

Cette préoccupation elle transparaît de manière encore plus forte dans deux outils élaborés par la région Île-de-France dans le cadre du schéma directeur et par l'État dans le cadre de la loi du Grand Paris. L’un comme l'autre ont affiché des objectifs de création de logements assez importants. Le schéma directeur affiche 60 000 logements de plus chaque année, la loi sur le Grand Paris affiche 70 000 logements de plus par an.

Cela représente peu ou prou un doublement du rythme de construction au niveau de la région Île-de-France. Ce n'est pas une lubie de technocrates, simplement le constat qu'il y a un besoin véritable dans cette région en terme de logement. Evidemment il y a une différence fondamentale entre ce qui est aujourd'hui souhaité et ce qu’il s'est passé dans les années 60/70. Dans les années 60/70, au moment où on a construit de grands ensembles, on a eu une approche quantitative du logement. Aujourd'hui on ne peut pas avoir une approche qui ne soit que quantitative. On a besoin également d'une approche qualitative de l'augmentation de l'offre de logements. C’est d'ailleurs pour cela qu'a été créé, pour certains sites très particuliers, dans lequel il y a des enjeux importants en matière d'insertion, en matière de paysage, en matière architecturale, on a créé un concept qu'on appelle l'éco-quartier. L’éco-quartier c'est une somme d'exigences supplémentaires qui doivent accompagner les opérations de construction de logements.

En matière de politique du logement, c'est parfois plus sensible dans certaines communes, l'État réaffirme également un autre enjeu, une sous catégorie qui est celle du logement social. Vous connaissez tous la loi SRU et le niveau normé de 20 % de logements sociaux par commune. Vous savez que la commune du Vésinet, comme un certain nombre de communes de l'Est du département, n'a pas encore atteint ce seuil de 20 %.

Il faut comprendre ce que signifie réellement le logement social. Un jeune commissaire de police qui commence, une infirmière qui est en fin de carrière, un attaché d'administration qui est en milieu de carrière, un cadre moyen, ce sont autant de personnes qui sont éligibles au logement social. Je vais même vous faire une confidence. Dans la commune du Vésinet vous avez 49 % des ménages qui sont éligibles au logement social. Alors, quand on prononce le mot logement social il ne faut pas avoir un réflexe de recul, il faut regarder exactement à quoi cela correspond.

Le logement social c'est quoi ? C’est tout simplement une politique du logement qui est aidée par l'État, par le contribuable, en contrepartie de conditions de salaires et de ressources pour les familles qui sont accueillies.

Et ce que dit l'État, ce que dit le législateur, ce que disent d'ailleurs tous les décideurs c'est que nous avons besoin d'avoir plus de logements sociaux en région Île-de-France, simplement parce que nous avons une fraction très importante de la population qui est éligible.

Alors oui effectivement nous voulons dans le département augmenter le nombre de logements sociaux. Voilà à peu près le cadre dans lequel nous évoluons et les enjeux en matière de politique de logements.

Maintenant au Vésinet, le Vésinet dont tout le monde connaît les caractéristiques et l'histoire, cette ville-parc qui a été dessinée au XIXe siècle, au Vésinet il y a le site de l'hôpital où l'État et les établissements publics sont propriétaires d'une superficie de 32 ha. 32 ha partagés entre l'hôpital, les anciennes installations de l'INSERM et aujourd'hui l'IRSN.

L'hôpital va continuer à fonctionner de façon normale mais il s'est posé, il y a quelques années, la question du devenir des parcelles sur lesquels étaient implantés l'INSERM et l'IRSN.

Cet espace qui fait un peu plus d'une vingtaine d'hectares représente la dernière opportunité foncière, pour votre commune bien sûr, mais également au sud de la boucle de la Seine. Autant vous dire que c'est un terrain à très fort enjeu et qui est particulièrement pressé.

Dès 2006 cela a été pris en compte dans le programme du premier ministre pour la mobilisation du foncier de l’Etat. Ce site a été identifié comme étant un enjeu essentiel sur lequel nous voulons conduire une politique du logement. Il a été estimé tellement essentiel qu'il a été un temps envisagé de faire un programme d'intérêt général. On appelle ça un « PIG ». Puisque le terrain appartenait à l'Etat cela permettait en fait à l'État de conduire tout seul l'opération de logements et de s'abstraire d'un certain nombre de procédures, en tout cas d'écraser ces procédures, pour pouvoir mener à bien cette politique du logement.

Il y a certainement parmi vous des juristes qui diront que c'est tout de même une procédure un peu exorbitante, un peu étrange, mais il faut quand même avoir en tête que de tout temps, le législateur ou le constituant ont toujours estimé que la politique du logement était une politique d'intérêt public manifeste, à tel point que je vous rappelle qu'elle empiète sur le droit de propriété qui est pourtant un droit reconnu au niveau constitutionnel.

Que ce soit par le passé lorsqu'on faisait des réquisitions ou aujourd'hui encore, lorsque l'on refuse d'apporter le concours de la force publique pour des expulsions locatives, on marche sur le droit de propriété au titre du droit du logement. Donc il existe des outils qui sont des outils très puissants qui permettent de conduire ces opérations de logements.

Pour autant ce n'a pas été le choix qui a été retenu à l'époque et ce qui a été voulu, décidé et matérialisé par un protocole signé en 2008 entre l'État, la commune et un opérateur qui est un établissement public de l'État qui s'appelle l'EPF. Il a été décidé finalement de confier, d'une certaine manière, la maîtrise d'ouvrage à la commune. C’est une bonne chose, cela permet un pilotage, une association beaucoup plus étroite que si c'était l'État seul qui avait conduit le programme d'intérêt général.

Mais je vous dis ça pour que vous sachiez que l’État tient à cette opération, qu'il estime indispensable, qu'il veut qu'elle soit menée à bien, évidemment avec une condition c'est la condition qualitative dont je vous ai parlé parce que l’on n’évolue pas dans n'importe quel site. C'est d'ailleurs pour cela que nous tenons à la labellisation d'éco-quartier.

Il y avait une question qui se posait c'était la poursuite de l'activité de l'IRSN sur ces terrains.

Plusieurs scénarios ont été envisagés. Le protocole de 2008 envisageait même une première étape puis une deuxième étape. Donc à l'issue de cette réflexion qui est intervenue cet été, M. le maire m'a demandé de venir pour vous dire qu’il a été décidé par les autorités de tutelle, par l'établissement de maintenir l'activité de l'IRSN sur son site au Vésinet. Modulo un ou deux bâtiments. Pour les gens qui connaissent bien le site, c'est le bâtiment A qui sera déplacé au nord des terrains. Mais pour l'essentiel, les 5 hectares qu'occupe l'IRSN vont permettre à l'établissement de poursuivre son activité.

Alors évidemment il y aura une conséquence c’est que l'opération qui à l'origine devait permettre la construction de 600 logements va être modérée et va être ramenée à quelque chose qui est voisin de 400 logements.

C’est la poursuite de la procédure qui dira exactement combien. Ces 400 logements vont donc s'installer essentiellement sur les anciens terrains qui étaient occupés par l'INSERM et cela permettra la poursuite de l'activité de l'IRSN sur son site.

Cette décision aura aussi des conséquences en termes d'études et procédurales puisque finalement on va réexaminer l'impact. Puisque l'opération est modérée, les impacts seront modérés et on va revisiter l'appréciation de l'impact, réadapter l'étude d'impact qui a été faite et puis également poursuivre la concertation et l'élaboration progressive de ce projet, de ce programme de 400 logements.

Voilà, à peu près, là où nous en sommes aujourd'hui.

Ce que je voulais vous dire d'abord c'est l'importance que représente cette opération aux yeux de l'État. J’ai un peu rappelé le contexte général. Il faut dire que nous sommes très déterminés à poursuivre cette opération mais à la poursuivre dans des conditions de qualité. On est dans un parc enclos il faut conserver la nature et les caractéristiques d'un parc enclos. On est dans un site qui est à côté de l'hôpital, dont une partie est inscrite à l'inventaire des monuments historiques, ce qui veut dire que le geste architectural, le travail architectural doit être un travail de qualité. Ce sera précisément le rôle du cahier des charges de l'aménageur, de l'opérateur qui interviendront.

Voilà en quelques mots où nous en sommes aujourd'hui. C’est une opération excessivement importante aux yeux de l'État. Elle représente un intérêt collectif et public extrêmement fort et il ne faut pas être effrayé par certains aspects.

Quand on prononce le mot « logement social » il n'y a pas besoin d'avoir peur du concept de logement social. Cela je le dis parce que je sais que c'est vrai dans toutes les communes. Il ne faut pas avoir peur non plus du nombre de logements d'autant plus que celui-ci vient d'être modéré par la décision de maintenir l'IRSN sur place.

Je pense au contraire qu’une opération comme celle-ci participe à l'aménagement et à la construction de la ville du Vésinet. C’est quelque chose qui peut permettre à la ville de fonctionner encore mieux.

Voilà Mesdames et Messieurs ce que je souhaitais vous dire ce soir. Nous allons avoir un échange si vous le voulez.

Je ne pourrais pas répondre à toutes vos questions techniques parce que le propre d'une opération d'aménagement concerté c’est que précisément les réponses s'élaborent au fur et à mesure du travail qui est accompli mais j'essaierais en tout cas de vous apporter tous les éléments qui vous permettront naturellement de connaître ce projet.


QUESTIONS

Michel LAFFITTE Dans le projet tel qu’il existait il ya eu un engagement politique fort de la Ville et de l’Equipe Municipale auprès de la population. Il y avait un contexte. L’Etat change d’avis. Oui aux logements sociaux, mais quid des conséquences financières de ce changement. Le nouveau projet permet-il un équilibre financier pour l’aménageur, sauf si l’Etat abandonne les terrains pour l’euro symbolique. Est-il possible de concilier la qualité esthétique voulue pour l’éco-quartier avec le maintien des bâtiments de l’IRSN ? Voilà quelques réflexions à chaud.

Philippe COURT Plusieurs choses dans ce que vous avez souligné. Le premier point c'est la conception du projet. Heureusement mes prédécesseurs et puis ceux qui travaillaient avec eux ont été des gens précautionneux, parce que comme vous l'avez souligné le protocole prévoyait deux phases . Les deux phases d'ailleurs, je ne vais pas lever le secret de l'opération d'aménagement, étaient conçues de manière au moins successive voire sur le plan financier, j'y reviendrai, comme financièrement indépendante. Pour l'aspect architectural, bien sûr je vous ai parlé de réadaptation. Il va falloir prendre en compte le fait qu'on a une opération qui est modérée de 600 à 400 logements. J'ai parlé avec Paul Trouillot qui est le chef départemental de l'architecture et du patrimoine, l’A.B.F., de la conception qu'on a pu avoir de ces terrains. Il y a toujours eu en arrière de la pensée ces deux étapes qui étaient d'ailleurs identifiées en tant que telles. Les terrains de l'INSERM et les terrains de l'IRSN. Donc, par rapport à ce qui avait été prévu, l'opération n'est pas substantiellement modifiée. Il va falloir l'adapter la modérer et regarder quelles peuvent être les conséquences de cette modération sur son contenu. La deuxième chose : vous avez souligné un point vrai, oui cette décision aura une conséquence financière. Il s'avère qu'il y aura des conséquences financières pour l'État. Pourquoi ? Parce que le mécanisme d'équilibre de l'opération d'aménagement reposait sur un principe, vous le savez, le compte à rebours qui, pour faire simple s'il restait de la marge après le décompte des intermédiaires, de l'aménageur, des établissements publics, c’était l’Etat, c'est-à-dire le contribuable qui récupérait cette marge. Du fait e la décision, sur la deuxième phase la marge n'existera pas, c'est-à-dire que sur le mécanisme du compte à rebours le prix final que tirera l'État sur cette opération sera moindre. Mais cela s'a été pris en compte lorsqu'il a été choisi de maintenir l'IRSN sur le site. En revanche, pour la commune, pas d'effets financiers. Je dirais même, je ne sais pas quelle est la contribution économique de l'IRSN pour la commune, mais je pense que cela apportera même une petite ressource aux collectivités même si elle est perçue par l'intercommunalité. Troisième chose il va y avoir un travail de réadaptation. Alors j'entends ce que vous me dites sur le crédit de la commune. C’est pour cela que suis venu ce soir pour vous dire ce qu'il en était. Encore une fois vous-même et mes prédécesseurs avez toujours eu en tête qu'il pouvait y avoir deux étapes indépendantes. Le choix qui a été fait c'est de maintenir l'IRSN. Pour autant je vous ai rappelé que cette opération est toujours essentielle quand bien même on n'en réduit le périmètre.

Didier JONEMANN Vous venez de le dire, on s’oriente vers la rédaction d’un nouveau protocole. Le protocole de 2008 est devenu largement caduc. Il fera l’objet d’une renégociation, notamment pour les contraintes émises par l’ABF. D’autre part il y a un aspect financier. La commune est très lourdement endettée et elle ne pourra pas bénéficier d’une éventuelle plus-value. Le protocole n’a jamais été ratifié par le Conseil. C’est l’occasion de passer le nouveau protocole en conseil. On nous avait imposé une contrainte de temps, la révision simplifiée. Désormais on pourra intégrer dans le PLU qui est en cours d’élaboration.

Philippe COURT Je vais revenir sur chacun des points. Je ne voudrais pas que l’on se méprenne. D’abord la première chose, les données de contrainte architecturale. Les contraintes architecturales elles sont là dans l’intérêt des habitants du Vésinet. Elles sont d’abord là pour eux ! C’est pour les habitants, pour ceux qui vont y être, qu’il ya des contraintes. Bien évidemment aussi, parce qu'il y a un patrimoine, un parc, un site, mais nous, nous sommes particulièrement attachés pour les habitants du Vésinet et je pense qu’ils le sont aussi, d’avoir un ensemble qui soit intégré. Deuxième point, que le protocole, alors je vais répondre de manière un peu globale. Le protocole il prévoit une certaine chose. Alors on va l’adapter naturellement. Plutôt que de renégocier ou de repartir à zéro, on va l'adapter. Ce protocole il crée surtout des obligations pour l’Etat. Je vous ai dit que les conséquences financières de ce choix sont des conséquences qui s'imputent à l'État. On va l'adapter, évidemment, comme on va adapter un certain nombre de travaux qui ont été conduits, on ne prendra pas un retard indéfini sur cette opération. Ce que je vous ai dit également tout à l’heure c’est que c’est notre souhait de continuer à travailler dans le cadre d’un protocole. D’autres outils nous sont possibles. Pour l'instant ils n'ont pas été retenus. Je trouve que le protocole est quelque chose de bien parce qu’il vous associe de manière assez étroite, parce qu’il m’amène à être présent ici ce soir, pour vous parler, pour partager avec vous sur ce sujet. Je pense que c'est une chance pour la commune, notamment pour le conseil municipal du Vésinet. Dernier point enfin, pour conduire un certain nombre d'opérations de logement je connais le discours qui consiste à dire qu'il faut avoir une approche qui soit une approche globale, générale. Généralement quand vous avez en face de vous des fonctionnaires d'État qui vous disent, M. le Maire il faut avoir une lecture globale, généralement c'est qu'on veut renvoyer l'affaire aux calendes grecques. Il m'arrive aussi de pratiquer cet art là. Je trouve qu'en termes de démocratie, avoir conduit une opération de révision de documents d'urbanisme autour d'un objet qui est un objet identifié, précis, quasi unique, le devenir de cette parcelle, je trouve que c'est beaucoup plus démocratique, un exercice démocratique beaucoup plus juste, beaucoup plus opérant. Le PLU du Vésinet, à mon avis il ne va pas soulever que la question du devenir des terrains de l’hôpital. Et ce sujet qui est un sujet très important pour vous va être noyé au milieu d'un ensemble de sujets en matière de droit de l'urbanisme de qui va noyer le débat. Donc avoir traité de cette question et continuer à la traiter dans un cadre qui est un cadre spécifique, je trouve qu'en termes de débat démocratique c’est beaucoup plus opérant. Au moins on sait de quoi on parlait, on ne parle que de cela.

André MICHEL Peut-on avoir confirmation qu’il y aura un second protocole. D’autre part les coûts engagés par la Ville seront-ils pris en compte par l’Etat ?. Troisième point l’équilibre financier des deux phases. Qu’adviendra-t-il avec le nouveau projet si le bilan de l’aménageur n’est pas équilibré ? Toutes ces dépenses qui ont été faites, on aimerait bien ne pas les supporter. Qu’adviendra-t-il des équipements s’il ya moins de logements.

Philippe COURT je vais essayer peut-être d’une manière un peu différente de réexposer une partie de ce que j’avais indiqué. L’objet de ce protocole avait pour objet de confier la maîtrise d'ouvrage de cette opération à la commune, pas de la laisser à l'État. L’objet du protocole il va être naturellement adapté. À ce jour pour l'instant cette adaptation encore une fois je le dis le protocole comportait deux phases, une première phase, une deuxième phase, relativement indépendantes. La conséquence financière qui est visée sur le bilan de la ZAC, le bilan en fait concernait deux ZACs. Si vous avez bien regardé les bilans, ils étaient construits de manière autonome, c'était l'État qui en portait les conséquences financières. J’aimerais bien que ce sujet soit clair, que sur la question du bilan de l’opération d’aménagement, le système du compte à rebours fait que, effectivement, c'est l'État qui va faire une moins-value foncière. C’est ainsi, cette décision appartient à l'État. Qu'on soit amené à réadapter le projet, bien sûr ! Bien sûr ! Que l'on regrette qu'il n'y ait pas suffisamment de rentrées fiscales parce qu'il va y avoir moins de logements, moi je suis prêt à rediscuter avec vous d'augmenter le nombre de logements sur la parcelle qui reste mais je ne sais pas si c'est le souhait de l'ensemble du conseil municipal. Ce que je veux dire par là tout simplement c’est que la décision de maintenir l'IRSN sur place c'est plutôt une décision de modération. Ce que j'ai compris de la problématique, j'avais plutôt l'impression que 600 logements cela inquiétait certains de vos concitoyens. On va modérer les impacts. On va avoir une encore meilleure intégration sur le site et pour autant Et pour autant on va servir cet objectif qui est un objectif de construction de logements, de logements sociaux. Donc vraiment voyez cela, comme une décision de modération. Et en plus l’IRSN c'est quand même 150 techniciens et cadres qui vont continuer à travailler sur la commune du Vésinet ce qui est somme toute une décision qui va avoir un aspect très positif. C'est bien d'avoir 150 cols blancs - sur la commune.

Nadine LANG Je suis sensible au développement du projet de logements sociaux mais le premier projet visait 160 logements sociaux sur la première parcelle, soit 40%, parce qu’il n’y en avait presque pas sur la seconde parcelle. Pourriez-vous vous engagez à passer le pourcentage de 40 à 30% dans cette partie de la commune qui est déjà occupées par un certain nombre de logements de la résidence des coteaux ? Cela permettrait aux Vésigondins de voir un équilibre plus harmonieux par rapport aux 400 logements ?

Philippe COURT Après avoir développé tout un argumentaire sur le logement social je ne serais pas très cohérent avec moi-même en vous disant banco. Mais il est exact que dans l'opération il était prévu sur la première tranche environ 40 % de logements sociaux. C'est un sujet dont on peut rediscuter. Je ne vous donne ni un quantum ni rien, mais on peut rediscuter du quantum, on peut rediscuter aussi de la destination. Immédiatement à côté du Vésinet vous avez un site d'emploi qui s'appelle l'hôpital. Cela fait partie des lois qui ont été évoquées mais cela fait parti aussi du bon sens . Essayons de réduire les déplacements domicile-travail. Je pense qu’il existe des choses assez astucieuses qui peuvent être faites, à la fois en conservant l'objectif de construction de logement social et en répondant d'ailleurs à des intérêts qui sont des intérêts propres et en plus locaux à la commune du Vésinet. Donc je vous ai répondu que je n'ai pas pris d'engagement mais c'est un sujet dont on peut rediscuter

André MICHEL je n’ai pas eu de réponse au sujet de l’argent que la ville du Vésinet a dépensé en pure perte. Est-ce que l’Etat va le compenser ? Les études d'impact par exemple. Depuis l'an passé il y a eu plusieurs choses.

Robert Varèse M. Michel l'ensemble le plus gros et le plus lourd des études a été financé par l'EPF Y. il y a eu l'étude d'impact qui effectivement est à la charge de la commune. Cette étude d'impact nécessairement va être revue. Cela ne veut pas dire, alors je vais être dans une logique mathématique, cela ne veut pas dire que ça va pas être une simple homothétie. Cela demandera certainement un réexamen des études et l'EPF Y. va en prendre certainement sa part. Si jamais il y a une remise partielle de l'étude d'impact ce sera certainement la commune qui la prendra à sa charge. Ce supplément d'études d'impact je rappelle que face à un enjeu qui est de je ne sais pas combien de millions, 15 20 30, nous l'avions chiffré à l'époque à peu près à 50 millions, si évidemment, comme des grands, la commune faisait le projet toute seule il est bien évident que face à un projet de cette envergure une enveloppe d'impact serait très minime…

André MICHEL la décision de l’État est-elle définitive ou est-ce un report de décision ?

Philippe COURT La décision va être présentée aux salariés et aux dirigeants de l'IRSN de maintenir leur activité sur site. Si la question est de savoir si dans 20 ans ce que fera l'IRSN je peux pas vous le dire. Si la question c’est que c'est décalé de six mois ou 12 mois, la réponse est non.

Robert Varèse Merci Monsieur le Préfet, merci M. Michel de cette question parce qu'en fait ça renvoie à ce que j'avais dit à mon engagement devant vous tous et que je rappelle devant M. le Préfet, que de ma part il ne pourrait pas y avoir de délibération sur la création de la ZAC s’il n’y avait pas de visibilité à la fois sur les questions de pollution ou sur l'avenir de l’activité de l'IRSN. Pour être clair si l'avenir c'est que nous sachions que c'est à trois ans, à cinq ou à sept ans, à l'échelle d'un projet comme ça, cinq ou sept ans ce n'est pas idiot même si ça eut créé quelques difficultés. Cela étant, maintenant on nous dit écoutez c’est dans 15 ou 20 ans comme le dit M. le préfet il est bien évident qu'on peut considérer ne serait ce que l’engagement vis-à-vis des aménageurs et autres ont peut leur dire voilà il y a une ZAC réduite, pour schématiser faîtes avec. Comme l’a rappelé Monsieur le Préfet et je l’en remercie parce que ça correspond à une volonté de l'État qui est clairement affiché depuis longtemps et à nouveau prouvé c’’est que c'est l'État qui va quelque part prendre la baisse de rentabilité de l'opération. Pour résumer dans la mesure où la deuxième partie ne se fera pas à horizon d'un conseil municipal honnête c'est-à-dire sur 10 ou 15 ans, voilà.

Isabelle Morel Je voulais savoir si pour l’Etat il avait été imaginé un calendrier pour la suite des opérations.

Philippe COURT Imaginer… Le calendrier en fait aura un déroulement normal de l’ensemble des modalités des procédures qui sont prévues dans une opération d’aménagement. Je n’ai pas en-tête de calendrier. Notre souhait vous l’avez bien compris c’est qu’en prenant toutes les précautions de type qualitatif et juridique possible car il ne s’agit pas de faire d’erreur dans cette affaire là , il ne s’agit pas d’offrir d’erreur dans cette affaire là c’est que cette opération se déroule, se déroule normalement mais le plus tôt possible on pourra satisfaire le besoin de logements mieux çà sera.

Robert Varèse Monsieur le Préfet, il me reste à vous remercier. Je pense que le Conseil Municipal s’associe à mes remerciements pour la très grande clarté de votre exposé et la non moins grande clarté et précision de vos réponses sur des points qui ont été évoqués à ce sujet qui nous touche tous et sachez qu’à titre personnel, je le renouvelle publiquement, je le soutiens à fond et j’ai été, dans la campagne municipale un ardent défenseur de ce point là. M. le Préfet je vous remercie.

lundi 11 octobre 2010

Propos de rentrée

"Comme elle était douce la prise de travail matinale des agents de service à la résidence SULLY. Une douce ronde de café attendait pendant une bonne heure pour permettre l'arrivée des retardataires avec l'adjointe au milieu.
Pendant ce temps elle ne pouvait voir la crasse qui s'accumulait dans les cuisines et ailleurs. Il aura fallu une glissade malencontreuse pour que la Directrice s'en aperçoive.
A qui la faute de tout cela ?
Aux agents bien sûr ! Mais sûrement pas à l'adjointe de Direction qui ne sait les mettre au travail faute de compétence. Elle ne peut évidemment pas vérifier la qualité.
Il fallait trouver une solution : la mise au travail rapide des agents surchargés dès leur arrivée n'est pas possible vu que l'adjointe arrive après eux.
Dans la résidence cela fait jaser depuis longtemps mais Chut ! si vous dîtes quelque chose contre le pouvoir en place vous êtes aussitôt invité à chercher un logis ailleurs. Alors pauvre pékin on n'a pas d'autre solution que de subir et se taire.
Malgré cela il se pouvait que la DDASS fasse une visite inopinée et découvre la crasse. Alors faute de pouvoir pallier l'arrivée tardive de l'adjointe on embaucha rapidement un agent supplémentaire, une probable charge supplémentaire pour nos impôts déjà si lourds.
Au bout de quelques mois la nouvelle recrue cadencée au rythme des Îles a toujours beaucoup de mal à trier les quelques lettres qui sont déposées pour les 50 résidents quotidiennement par La Poste sur le comptoir de la résidence vers 10 heures.
Le tri et la distribution par un agent habituel prend à peine dix minutes et nous disposions tous les jours de notre courrier vers 11 heures.
Au bout de quelques mois la nouvelle recrue évoquant sa surcharge de travail la solution fut de la libérer de cette lourde tâche le matin et de ne distribuer le courrier que dans l'après-midi, vers 16 heures. Les Seniors qui n'ont plus d'urgences à régler peuvent bien attendre !

Un court répit, l'adjointe était en vacances, la ronde du café avait disparue, les agents étaient un peu plus actifs.

Aujourd'hui 13 septembre 2010 : rentrée de vacances de l'adjointe, la ronde du café reprend. Impossible de prendre une douche chaude.
Selon l'adjointe l'eau chaude va revenir dès demain, puisqu'elle a téléphoné au chauffagiste. Il est le seul a détenir les clés, il a de fait un monopole sur les interventions. Chacun de ses déplacements et de ses multiples interventions sont rétribués grassement sans aucun accompagnement des services techniques pendant les travaux ou lors de leur réception en fin d'intervention.
Bref on règle au bon vouloir de la société et sans contrôle. Gabegie bien sûr à la charge de l'éternel cochon payeur : le résident à Sully et les autres au Vésinet !
Et quand on signale un problème à l'adjointe ou à la directrice la réponse est top du top :ce n'est pas nous mais le service technique ou quelqu'un d'autre et je ne peux pas intervenir même pour passer un coup de téléphone !"

jeudi 7 octobre 2010

Les tribunes des élus

Que le monde est injuste pour nos vaillants du RPV !
Il faut le dire l'ensemble des difficultés qui accablent Le Vésinet sont le fruit de l'incivisme des Vésigondins !
Il y a trop de papiers qui sont jetés dehors des poubelles, trop de graffiti qui s'étalent sur nos murs, trop de crottes de chien...
Pourtant ce n'est pas faute d'avoir tout fait. Songez la Ville a embauché une brigade de 4 agents.
Heureusement la police a arrêté un délinquant et le RPV nous livre un SCOOP : les auteurs de ces actes d'incivisme ne sont pas toujours issus des communes voisines !

On les a voulus, on les a eus. Circulez y a rien à voir jusqu'en mars 2014.

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Le Vésinet Solidaire et Durable dénonce à quasi mi-mandat l'ambiance fin de règne qui sévit dans l'équipe municipale majoritaire. La liste fait l'inventaire des non-réalisations et des échecs.
Plusieurs suggestions sont lancées :
- finir la patinoire et récupérer les subventions (Une idée qui va finir par faire son chemin !)
- arrêter le gaspillage (En particulier les études à tout va si chères... au Consultant qui nous gouverne)
- répondre aux attente en logements sociaux (La résidence Joséphine Backer est vivement félicitée)
- réaliser les travaux prévus dans le plan à trois ans élaboré fin 2007 (Cela reviendrait à admettre que l'ancienne municipalité...)

Pour conclure par une alternative : se ressaisir (En gros agir) ou se démettre (Ben alors là c'est pas gagné !)

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La liste Union pour l'Avenir nous communique des extraits de sa lettre de juillet au Sous-préfet. Elle nous append que ce dernier n'y a pas encore répondu.

Le courrier semble bien construit. Peut-être est-il dommage que nous ne puissions le lire en entier. Nous proposons bien volontiers à la liste Union pour l'Avenir de le publier in extenso dans ce blogue.

Publié sous forme de lettre ouverte il inviterait peut-être le Sous-préfet à répondre.

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Claude CHATARD, comme les autres oppositions, souligne l'absence cruelle de réalisations de l'équipe municipale majoritaire.

Il déclare que le maire a choisit seul, en 2008, de privilégier le projet d'éco-quartier.

Claude CHATARD qui avait voté les pleins pouvoirs en avril et qui a approuvé la convention signée avec l'EPFY ajoute "au détriment de l'intérêt collectif".

Il est intéressant que le premier adjoint d'alors porte ce jugement. Espérons que l'AEB utilisera cet argument dans son contentieux avec la Ville au sujet de la révision simplifiée du POS.

Si les adjoints d'alors contestent la notion d'intérêt général comment la Ville justifiera-t-elle la révision simplifiée du POS ?

La revue d'octobre

Nos critiques auraient-elles fait mouche ? Trois semaines, montre en main, après la distribution le 15 septembre dernier de la revue municipale de Septembre, la Ville a fait distribuer la revue d'Octobre.

Certes nous sommes déjà le 6 mais nous n'étions plus guère habi
tués. Certes elle ne compte que 22 pages contre 26 pages à la précédente mais ce qui compte c'est qu'elle est là.

Certes il ne s'agit plus que du compte-rendu des activités des diverses associations qui ont toujours fait la force du Vésinet mais soyons objectifs que pourrait-on attendre d'autre d'une revue à tirage mensuel ?

Certes les quelques nouvelles distillées par la municipalité sont toujours aussi avares de renseignements :

Pourquoi le conservatoire a-t-il changé de directeur ? Qu'est devenue la directrice qui n'avait pas les diplômes requis ? Recrutée par le maire, payée sans compter pendant deux ans, pourquoi cet échec et pourquoi aucune explication ?

Pourquoi les tarifs du stationnement souterrain place du marché ont-ils été baissés ? Quelle est la fréquentation du parking le plus cher du monde ? Pourquoi la Ville ne dit-elle pas qu'elle a augmenté les tarifs du stationnement de surface ? Y-a-t-il un rapport entre les deux informations ?

Pourquoi la Ville prétend-elle être attentive à ses aînés et omet-elle de rappeler que les deux hivers derniers les hôtes des résidences gérées par la Ville ont souffert de pannes de chauffage qui ont duré plusieurs semaines ? Pourquoi Mme TRITANT prétend-elle qu'une attention toute particulière est portée aux personnes agées de plus de 60 ans alors qu'elle n'a pas réagi lorsque le CCAS lui a annoncé les pannes. Une année mettons, mais deux années Mme TRITANT, comment le justifier ?

Heureusement il y a deux rubriques que nous attendons tous chaque mois, un peu comme les bandes dessinées à la fin des journaux de nos parents, l'éditorial du maire et les tribunes des conseillers municipaux. (En cliquant ici vous accèderez à l'article que nous consacrons à ces tribunes).

Et là ! Chapeau bas M. le Maire !

Un éditorial comme celui-là on en reveut chaque mois.

Commencez votre éditorial en évoquant ces personnes qui surveillent les enfants sur les aires de jeux et dont on ne sait trop bien à quelle génération elles appartiennent pour conclure sur le maintien et les soins infirmiers à domicile, c'est du grand écart !

Vous nous aviez révélé dans votre précédent éditorial que vous étiez équilibriste, mais... petit cachottier vous êtes aussi gymnaste !


samedi 2 octobre 2010

En Bref ( Avril 2009 - Septembre 2010)

Un simple clic sur l'une ou l'autre des photos vous permettra de les agrandir à votre vue.
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29 septembre 2010
Le Vésinet aurait-il perdu son weber du palais ?
Histoire d'un faux

PHENIX qui a créé un bestiaire pour décrire les personnages de la Cour nous apprend que celui qu'il qualifie de molosse serait en disgrâce. Il faudrait que R. VARESE explique un jour aux Vésigondins comment il peut choisir si mal ceux avec qui il dirige la Ville. De ceux qu'il a aimé puis désaimé la liste est longue : CHATARD, CHAMBORANT, KERSTEN, LABRY, LANG, CONTE...
Mais dans le cas présent il semble qu'il s'agisse d'une rumeur propagée. En réalité nous croyons savoir que c'est le DGS lui-même qui a décidé et informé le maire de ce qu'il travaillerait désormais le matin depuis chez lui. Quand on gouverne on décide.


26 septembre 2010
Le Vésinet aurait perdu son guide
Tout le monde est en attente

Curieux : Le guide du Vésinet n'est toujours pas paru et sur le site de la Ville on affiche toujours celui de l'année dernière. En d'autre temps le guide sortait avant la rentrée scolaire.
PHENIX nous susurre que
Le Guide aurait été mis au pilon parce que la version imprimée indiquait encore Claude CHATARD 1er adjoint. Qui paye ce genre de gabegies ?


20 septembre 2010

Chronique d'une entrée en campagne
La Constitution au secours de Robert VARESE ?

Ce soir, à l'initiative de Jacques MYARD, délégué pour la 5ème circonscription, Valérie PECRESSE, Ministre des Universités et Présidente de l'UMP des Yvelines, venait à la rencontre de ses adhérents.
La salle des conférences accueillait environ 90 personnes.
La ministre était en forme et a été copieusement applaudie notamment lorsqu'elle sut, avec doigté et fermeté, répondre à une mise en cause de sa politique des trois dernières années.

Seul couac dans la soirée, l'intervention vigoureuse du député pour contrer la question d'un Vésigondin visant la présence sur l'estrade d'un maire ayant augmenté les impôts de 50% dans sa commune.

Volant au secours de R. Varese, M. MYARD a invoqué l'article 75 de la Constitution. Selon le député cet article dictait que les Communes étaient libres de leurs décisions et qu'à ce titre il s'interdisait de prendre partie dans des débats locaux.

L'assurance de Jacques MYARD a fait taire l'intervenant qui, du coup, a quitté la salle sur ces mots : "Puisqu'on ne peut s'exprimer, je n'ai plus rien à faire ici... Ils vont perdre les élections !"

Nous reviendrons sur l'affirmation du député qui nous parait contestable.



16 septembre 2010
L'Harmonie Municipale
Dernier lien avec nos communes sœurs

La municipalité du Vésinet était absente lors de la récente et traditionnelle cérémonie à Chatou en l'honneur des 27 jeunes fusillés fin août 1944 par les allemands, à laquelle assistaient les maires, parlementaires, conseillers généraux du secteur.
Heureusement Yvon Lemêle et l'Harmonie Municipale du Vésinet ont pu témoigner aux Catoviens et aux autres membres de notre Communauté de Communes de notre sympathie.

Honte au maire du Vésinet qui n'a pas daigné trouver un représentant !



16 septembre 2010
LVP communique
Le Vésinet Participation et les projets de la Ville

Allez voir à l'adresse ci-dessous un nouvel article vous y attend : levesinet-participation.over-blog.com/
nous apprécierons vos avis et commentaires
Bien à vous
LVP

11 septembre 2010

Deux petits tours...
...et puis s'en vont


Les exposants à "La journée des associations", pour certains présents depuis 8h30 sur le parvis de la place du marché, ont été très honorés de voir arriver vers 15h45, à l'heure où certains pliaient déjà bagages, le maire et ses femmes.

Certes il arrivait après les autres politiques : le conseiller général ou le député mais tout de même il a fait l'effort de se déplacer.

Sa visite était d'autant plus bienvenue que pour plusieurs raisons les visiteurs n'étaient pas légion.

Tout d'abord le numéro du VESINTOX de septembre qui annonçait la manifestation ne sera distribué dans les boîtes aux lettres que cette semaine.
Enfin le village des tentes réservées aux associations était replié sur lui-même n'attirant ni l'œil, ni le chaland, tous deux convaincus qu'il s'agissait d'une manifestation confidentielle.

Un succès : les représentants des différentes associations se connaissent nettement mieux.




8 septembre 2010
Bonne nouvelle
une motion populaire


Sous la présidence de Mme Nadine LANG, maire-adjoint à l'urbanisme, la commission éponyme s'est réunie ce mercredi 8 septembre en mairie.
A l'unanimité la commission a émis une motion pour réclamer le retrait des hideuses barrières qui agrémentent la pelouse des fêtes et le pourtour des Ibis.

La commission a raison de refuser que Le Vésinet soit traité comme une ville en état de siège.

Pour empêcher les véhicules de grimper sur les pelouses, ici comme ailleurs, la solution existe : selon les cas on recourt aux plots de 60 cm ou aux policiers de 1m75.


5 septembre 2010
Brocante... brocantes
succès sur toute la ligne


La Brocante des Familles, organisée depuis plus de trente ans par l'Association des Familles, a connu ce 1er dimanche de septembre un vif succès au Square Lorraine, accru par la présence du soleil et la bonne humeur des exposants et des badauds.Une bonne année selon certains exposants qui ont vendu autant l'après-midi que le matin. Certains ont débuté leur journée avant 8 heures. D'autres plus flegmatiques ont commencé à 10 heures.

Vif succès en perspective pour la Brocante des Ibis qui se tiendra route de Montesson le dimanche 19 septembre sous l'égide des associations de Commerçants (La CARPE et le MEV). Les inscriptions ont été tellement nombreuses que ces deux associations ont dû clôturer les enregistrements plus tôt que prévu.


28 août 2010
Du rififi au Marché
l'édile se serait commis comme un poissonnier


Selon des témoins oculaires une curieuse algarade e
n deux temps se serait déroulée sur la place du marché ce samedi 28 août.

A l'origine de l'incident une bête coupure d'électricité conjuguée à un défaut des générateurs alimentant les étals des forains vendant des produits périssables.

Un poissonnier, très remonté, aurait critiqué la Ville pour une gestion déliquescente, mettant en cause le maire, coupable selon lui de tous les maux dont notre Ville est accablée.
Les épithètes auraient volé et notre poissonnier n'aurait pas fait dans la nuance.

Parmi les chalands ce jour là, la femme du maire qui, n'écoutant que son amour pour son mari, aurait pris fait et cause, rentrant dans la dispute, à la limite de la crise de nerfs.
Elle aurait fini par conclure que l'incident réclamait la présence de son auguste époux qu'elle aurait joint par téléphone.

A la surprise des spectateurs le divin époux que l'on n'arrive pas souvent à joindre ou rencontrer, aurait volé à la rescousse de sa moitié et serait venu en personne sur les lieux du drame.

Il aurait apostrophé le poissonnier, mis en avant sa qualité d'édile irréprochable.
Le quidam aurait répondu que l'on était en république, qu'il était libre d'exprimer le peu de bien qu'il pensait de la municipalité et de son chef.
L'édile aurait menacé de saisir la justice (encore !) et le ton serait monté.

La tragicomédie se serait terminé sur une crise de larmes de l'épouse, rapidement emmené par son époux désemparé.

No comments



23 août 2010
Coup de projecteur sur le Conseil de quartier République
qui fait son cinéma le 24 septembre, à 20h30

Bravo à Inès de Pirey et à l'équipe du Conseil de Quartier République qui propose aux Vésigondins de se retrouver autour d'une séance de cinéma en plein air. Au programme : Le Concert, film drôle et émouvant, qui sera projeté sur les pelouses de l'avenue Médéric. Les Vésigondins auront la chance de rencontrer quatre musiciens ayant participé au tournage du film et professeurs au Conservatoire du Vésinet. Un apéritif sera offert par le conseil de quartier République, à l'initiative de l'événement.

Séance gratuite. Apporter coussin et couverture. Pique-nique autorisé. En cas de mauvais temps, la séance sera reportée au 25 septembre, 20 h 30.



8 juillet 2010
Qui est l'AAPM
un faux nez ou une véritable association

Nous avons tous eu l'occasion d'être impressionnés par le pouvoir que détenait l'AAPM, cette association qui prétend regrouper des Amis de la Place du Marché.

Son courrier, rendu public par PHENIX dans l'article intitulé "l'imposture" nous a permis de découvrir aux cotés de M. Guillermin, Président, la présence de Paule Antoine (Secrétaire qui a remplacé récemment Mme HUBERT) et Jean-Marie Mathiaud (Trésorier).

Comme nous, vous avez sûrement pensé que ces membres fondateurs, vu le nom de leur association, devaient habiter juste à côté de la place. Eh bien il n'en est rien !

M. Guillermin réside à l'autre bout de la rue Pallu presque en face du collège. De toutes façons il vit avec sa compagne savoyarde plus de six mois par an à Chambéry, alors Le Vésinet !

Mme Hubert réside route de Croissy tout près du boulevard d'Angleterre.

M. Mathiaud réside route des cultures, à quelques mètres du chemin de ronde.

Une véritable imposture !
Seule Mme Antoine réside rue Félicien David, dans l'immeuble où M. Varese a acquis un appartement pendant sa croisade contre le projet de rénovation de la place.



25 juin 2010
Une réjouissance morbide
n'avons-nous aucun motif de réelle fierté ?

Au cours des questions diverses le maire a pris son accent de "communicant" pour annoncer à son conseil une grande fierté.
Avec des accents pathétiques il a déclaré : "J'ai la grande fierté de vous annoncer que Le Vésinet a reçu les félicitations de Madame la Préfète pour la manière exemplaire avec laquelle notre Police Municipale, assistée de la Police Nationale a mené des opérations de sécurisation du périmètre des Ibis hier soir".

Renseignements pris il s'agirait des désordres annuels de lycéens célébrant la fin des examens du baccalauréat. Si tel est le cas, quel dommage que la Ville ne sache mettre à leur disposition les infrastructures nécessaires pour permettre de telles réjouissances.

En tout cas on peut être surpris que la Préfète des Yvelines n'est pas d'occupation plus importante que de féliciter le maire d'une commune bourgeoise de la manière dont sa police est venue à bout de ses propres enfants.

On ne peut que regretter que ce haut fait d'armes soit le seul sujet de fierté dont un Créon décati peut s'enorgueillir.



24 juin 2010
Des années de 18 mois !
une suffisance VERBATIM

A propos du budget supplémentaire, Mme MOREL (Liste Jonemann) attire l'attention de l'assemblée sur la baisse très importante des rentrées publicitaires attachées à la revue municipale.
L'élue suggère qu'un retour à une revue tous les deux mois permettrait de mieux équilibrer les comptes sans mettre en péril la communication.
Réponse du maire : "C'est déjà ce que nous faisons. Nous publions 9 revues par an".


19 juin 2010
Un spectacle de très bonne qualité
pour le retour du feu d'artifice
pelouse des fêtes

Un spectacle de bonne tenue, où la qualité des artificiers le disputaient à une excellente sono. Une bande son, originale, composée de chansons à la gloire du QUEBEC et de ballades celtiques peuplées de binious et autres cornemuses. Rien à redire, on s'est régalé. Les plus cyniques disaient : "Ca pouvait être bien avec tout ce qu'ils nous ont piqué", d'autres disaient : "Au moins en venant on récupère une partie de nos impôts". Une chose est sûre : le maire n'affichera pas le prix de la prestation.



15 juin 2010
Plus le singe monte haut.....
...plus il montre son derrière

André MICHEL et l'équipe de LVSD nous remémorent dans leur tribune libre de juin les positions très rigoureuses que R.Varese, opposant, exprimait quand le maire de l'époque ne lui semblait pas respecter ses concitoyens.
Déjà en février 2009, Philippe GRIFFOL avait publié ce texte savoureux de R. Varese dans un article intitulé : "Ce jour là : 4 mars 2004".

Et l'on y constatait que le tribun imbu avait osé dire "...vous intenteriez à votre mission d'élu du peuple..."

Comme le savent ceux qui ne confondent pas culture et confiture, on n'intente pas à une mission, tout au plus y attente-t-on.

Mais le maître du paradigme n'est jamais en reste et ses interventions, dans la revue comme ailleurs, résonnent de tous ses cuirs, ces mots qu'il s'approprie sans toujours en avoir saisi le sens.

Malheureusement c'est tous les jours que R. Varese attente à notre bien-être et nous devrions trouver moyen de lui intenter quelque chose pour que cela cesse.



3 juin 2010
Laissée pour compte ?
absence de discernement ...

On sait l'émotion que les excès (artistiques ?) du comportement de la nouvelle directrice du conservatoire avaient suscités, notamment parmi les parents d'élèves, au fil du temps.
On se rappelle les réactions engendrées par son inadéquation tant aux qualifications requises qu'aux libertés, qu'elle s'autorisait vis à vis des règles, notamment dans la conduite des jurys d'examen.
On a pu observer l'absence totale de réaction de la Mairie vis à vis des critiques formulées, justes ou injustes.

Il se dit aujourd'hui que la Mairie aurait signifié à la Directrice que son engagement ne serait pas reconduit au-delà de la fin de l'année scolaire 2009-2010.

Il se dit aussi que cette décision lui aurait été signifiée avec une absence de compassion (qualifiée par certains d'inhumaine).

Il se dit enfin que cette nouvelle, effectuée sans ménagement, aurait eu chez la dame des conséquences excessives, à la hauteur de son tempérament d'artiste.

Au-delà de l'inadéquation observée et des maladresses évidentes, formons des vœux pour que ce drame humain ne devienne pas un drame tout court. Accordons une pensée à un petit garçon qui ne peut comprendre ce qu'il arrive à sa maman.

Formons aussi des vœux pour qu'à chaque fois que le maire se heurtera aux conséquences de son manque de discernement, le prix payé par ceux qui en subiront les conséquences ne leur soit pas fatal.





14 mai 2010

Aux abonnés absents
l'odieuse messagerie


14 mai 2010 : vendredi d'après l'ascension. Rendons à César ce qui lui appartient.

Bien qu'étranger aux manifestations religieuses, le maire n'a pas voulu décevoir son personnel plus crédule.
C'est ainsi qu'a été organisé en ce vendredi d'après l'ascension une vacance totale de la Mairie.

Inutile de composer le numéro du standard ou celui d'un interlocuteur particulier, l'odieuse messagerie prend le relais, sans d'ailleurs préciser que la Mairie est fermée.
Le comble : les services de l'Urbanisme qui déclarent : "nous ne prenons pas d'appel le matin, veuillez renouveler l'après-midi"...

Avec 50% d'augmentation des impôts il ne fallait pas escompter de permanence !



12 mai 2010

Clamans in deserto...
les humeurs d'une élue


8 mai 2010 : jour de prêche.

Une poignée de Vésigondins avaient fait l'effort de venir écouter le maire et sa poignée d'élus.
Bouffi
s, ceux-ci étaient bouffis de leur importance.
Et dans l'article consacré par notre éminent confrère, la photo le montrait bien.
http://notrevesinet.blogspot.com/2010/05/8-mai-que-sont-les-varesiens-devenus.html

A 18h56 l'un des commentateurs improvisés de cet article l'écrivait en s'en prenant tout particulièrement à l'une des adjointes qui n'a pas hésité tout au long de sa carrière sinueuse à recourir aux services du Blogue chaque fois que cela lui chantait.

Le dimanche, sur la place du marché, tandis que le maire qui s'était fait attendre, chauffait le micro, l'élue vociférait des imprécations à l'encontre du Phénix qui n'y pouvait mais.
L'adjectif était supportable et le message avait été publié.

Elle vociféra tellement que deux de ses collègues RPV, dont le plus jeune, crurent nécessaire de tenter, sans succès, de la calmer. Ses imprécations redoublèrent.

Phénix, un volatile à sang froid, finit par s'échauffer devant de tels cacardages.

Il supprima le message qui qualifiait, de façon inélégante mais exacte, l'élue et pondit une petite chronique, exacte mais féroce, des relations de l'élue et du blogue.
N'hésitez pas à la lire, vous y apprendrez sûrement quelques choses.
http://notrevesinet.blogspot.com/2010/05/une-multi-recidiviste-de-la-duplicite.html




24 avril 2010

Un pitbull aux basques des cinq policiers
les cinq aux arrêts


Forts de la décision du comité paritaire qui avait jugé abusif leur licenciement les cinq policiers municipaux se sont présentés pour reprendre leur travail 17 rue Thiers.
Mais
le Directeur Général des Services ne l'entendait pas de cette oreille. La décision du comité est consultative et apparemment la Ville a décidé de passer outre...
On aurait entendu Robert Varese, opposant, stigmatiser les méthodes de la précédente municipalité.






13 avril 2010
Le blogue de Jojo le pressuré
Un nouveau blogue pour Le Vésinet

Edouard Bonnaure, alias Jojo le Pressuré (Cf. notre brève du 19 mars) nous a adressé le mail suivant :

Vous vous intéressez à la vie municipale du Vésinet,
Vous souhaitez vous exprimer ,
Vous voulez une information et une analyse objective de l'actualité vésigondine,
Alors retenez le lien suivant :

/ http://levesinet-participation.over-blog.com/


L'association LE VESINET PARTICIPATION, en complément de ses bulletins d'analyse de la gestion municipale diffusés depuis près de 20 ans, a créé ce blog pour informer et dialoguer avec tous les Vésigondins plus directement.

Nous vous remercions de vous manifester sur ce blog, en apportant vos idées et vos informations, dans le cadre de notre politique de diffusion de l’information par tous moyens et dans le respect de nos principes d’objectivité et de modération dans le propos.


Bien que nous n'ayons jamais bénéficié de la même faveur de sa part et que la modération dans le propos qu'il invoque ne se soit jamais appliquée à la gestion des équipes municipales précédentes nous lui donnons la plus grande audience possible et ajoutons un lien vers son site dans notre colonne de droite.





6 avril 2010

Mouvements sacerdotaux au sein de la C.C.B.S.
Sainte Pauline perd un modérateur et gagne un curé

Le père Dominique BARNERIAS, modérateur de la paroisse Sainte Pauline depuis près de 6 ans, a annoncé lors des cérémonies pascales son prochain départ.

Il remplacera à
compter du 1er septembre le curé de Sartrouville envoyé en mission. Avec deux confrères il animera cette paroisse qui compte trois églises, Saint Martin, Jean XXIII et Notre Dame du Val.

Son successeur sera le père Alphonse KY-ZERBO, enseignant en Droit Canonique à l'Institut Catholique de Paris. Ce prêtre originaire du Burkina Faso est arrivé à la paroisse Sainte Marguerite en début d'année et a déjà remplacé à quelques reprises le Père BARNERIAS.

Différence marquante avec les années passées, le Père KY-ZERBO sera curé de Sainte Pauline et non Modérateur. C'est à dire qu'il résidera dans sa paroisse et plus précisément au Presbytère qui va faire peau neuve pour l'accueillir.

Ce mouvement montre, s'il en était besoin, combien la notion de communauté de communes n'est pas un vain mot.

Nous souhaitons bonne chance aux deux prêtres dans leurs nouvelles missions.



23 mars 2010
Mme TACCI : rat ou souris ?
L'ineffable WEBER a encore frappé

On savait sa compétence égale à son désir de plaire au maître.
Après avoir endeuillé les décisions du maire et autres délibérations par l'ajout d'un liseré noir lui permettant d'afficher sa maîtrise de WORD, l'excellent sous-marinier, s'attaque désormais au personnel communal.

Mais que faut-il comprendre ? Cette brave Évelyne TACCI doit-elle être considérée plutôt comme un rat ou plutôt comme une souris ?

Dans les deux cas doit-on comprendre que l'on voudrait l'éliminer. Ce ne serait vraiment pas sport, surtout si l'on veut bien considérer toutes les marques d'allégeance qu'elle et son clan manifestent.



19 mars 2010
Jojo le Pressuré
un poète crotté

Les spécialistes de littérature contemporaine se perdaient en conjectures sur l'identité de notre poète crotté qui signait Jojo le Pressuré. Il avait inondé de tracts anonymes les boîtes aux lettres début 2009.
Sa fable datée de décembre 2008 (juste après le vote du budget scélérat) critiquait
PHENIX à la manière de La Fontaine mais sans y atteindre et tentait de faire accroire que tout le mal venait du maire précédent.
Il a été pris ces jours-ci en flagrant délit de distribuer à nouveau cette fabulette dans les boîtes aux lettres. Pour un polytechnicien c'est du grand art !




8 mars 2010
Salon des Peintres du Vésinet
6 - 21 mars 2010

On nous prie d'annoncer la tenue du salon des peintres du Vésinet. Le peintre MYOUNG-NAM KIM et le sculpteur JACQUES-VICTOR ANDRE honoreront particulièrement cette 45ème édition d'un évènement entièrement organisé par l'association des peintres du Vésinet. Le vernissage se tiendra le 9 mars. Il suscite d'ores et déjà un grand nombre de commentaires.



21 février 2010
"Eco-quartier" le pari irréfléchi
de nos apprentis-sorciers

Mercredi 17 février, vers midi, dans un des bâtiments situé sur le site I.R.S.N. (Institut de Radio Sécurité Nucléaire) du Vésinet, des flacons en matière plastique, vides, en cours de séchage dans une étuve, ont pris feu à la suite d’un mauvais réglage de la température par l’opérateur.

Alerté par le dégagement de fumées, le personnel du site est intervenu sur le champ et a permis de maîtriser le départ de feu avant même l’arrivée des équipes d’intervention des sapeurs-pompiers puis de la police sur le site.

Ce départ de feu n'a fait aucune victime, et les dommages matériels sont circonscrits à l’étuve et au plafond du local dans lequel elle était située. Selon le site du Vésinet, aucune matière radioactive n'a été impliquée dans cet incident.



9 février 2010
Le poids des blogues
au Vésinet

PHENIX avait attiré l'attention sur la candidature d'Annick HUGON, présidente de l'association BINKAD, au concours "Terre de Femmes" organisé par la fondation YVES ROCHER (décédé depuis lors).

Il invitait ses lecteurs à voter pour cette Vésigondine qui a manifestement une capacité à faire connaître sa passion pour le Mali en général et KADIOLO en particulier.A-t-il été entendu ? Annick HUGON a gagné le Prix du Public. Les blogues, même au Vésinet, ont certainement une audience.




21 janvier 2010
Abus de droit ?
et liberté d'expression

Il se dit qu'avec force milliers d'euros prélevés sur le budget de la Ville, Robert Varese aurait retenu les services d'un grand cabinet d'avocats pour poursuivre en justice un guillaume qui aurait publiquement fait état de différends entre lui et une partie de son équipe.

Il est possible que cette plainte, aussi prestigieux soient les robins, ne soit pas suivie par les juges.
Mais le guillaume va devoir se défendre, prendre avocat et tout cela lui coûtera.
Tandis que Robert Varese ne déboursera rien.

Certes il a d'illustres prédécesseurs dont le plus récent en date est Président du Conseil Italien qui traîne en justice la terre entière et son frère..

Dans un cas comme dans l'autre c'est la Res Publica qui assume les dépenses engagées pour satisfaire l'ego des princes du moment.
L'objectif imaginable est de rendre toute velléité de faire connaître ce qu'il advient au Vésinet si coûteuse que les autres guillaumes en soient dissuadés.

C'est, nous semble-t-il, une remise en cause insidieuse des libertés et cela s'apparente fort à un abus de droit.

Devrons-nous nous battre
un jour pour qu'au Vésinet chacun puisse communiquer et réagir librement sur les décisions et les actions entreprises par la mairie ?

Après avoir su fédérer contre lui :
  • les employés de la Ville au sein d'un syndicat,
  • les différentes centrales de parents d'élèves lors de manifestations,
  • bon nombre d'associations dans leurs relations avec la Ville,
  • une grande partie du personnel politique de la Boucle de Seine dans leurs appréciations privées,
  • les fidèles de certaines églises,
  • un grand nombre des membres des conseils de quartier,
  • et pas mal de bonnes volontés,
Robert Varese réussira-t-il à accomplir cette gageure : une sainte alliance au nom de la LIBERTE D'EXPRESSION ?




14 janvier 2010
Le Commissaire nous quitte...
pour officier dans le 14ème arrondissement

Au cours des vœux du Vésinet, le Commissaire Jean-Pierre DELCOURT, qui avait pris ses fonctions en 2005, a laissé entendre qu'il allait quitter nos terres prochainement.

Il confirme aujourd'hui qu'il quittera ses fonctions le 1er mars pour devenir l'adjoint du responsable du 14ème arrondissement de Paris. Le commandant de Police, DU PEYROUX, assurera l'intérim jusqu'à la prise de fonctions de son successeur.





13 janvier 2010
C'est Chambourcy qui le dit
Le Vésinet Champion ?

Ce que ne dit pas la revue municipale de décembre 2009 c'est que Le Vésinet est l'une des communes de France qui bénéficient des bases d'imposition les plus élevées. Les bases c'est la valeur locative établie en 1970 et revalorisée chaque année de l'indice du coût de la vie.

C'est ainsi qu'au Pecq qui a fortement augmenté son taux de taxe foncière en 2009 les bases sont près de moitié inférieures à celles du Vésinet (à superficie et prestations comparables).

Ce qu'il n'est pas dit non plus c'est que les valeurs fixées en 1970 venaient compenser pour l'Etat le fait que les précédentes municipalités avaient su conserver des taux d'imposition très raisonnables.

Aujourd'hui Le Vésinet, Champion toutes catégories, allie des taux élevés à des bases élevées.



4 janvier 2010
Propos glanés
au cours d'une réception

La réception était précédée d'un spectacle et d'un discours fleuve que nous commenterons plus abondamment.

Parmi les élus invités : "on ne sait plus faire court au Vésinet ?".

Parmi d'autres élus invités :
  • "en dehors des crèches, qu'ont-ils effectivement réalisés en 2009 ?"
  • "mais les crèches y étaient déjà avant 2008 !"
  • "pas les 300 places ?"
  • "de toutes façons il n'y en a jamais eu 300, même en comptant la crèche intercommunale de la rue de l'écluse !"
Parmi d'autres invités :
  • "mais quand est-ce que FOY va attaquer en diffamation sur toutes ces allusions à l'illégalité qui règnait précédemment ?"
  • "pas possible il ne cite personne, il ne dit rien !"
  • "c'est sûrement possible de faire quelque chose. Parmi les témoins il y avait quand même un Commissaire et un Commandant de Police"
  • "avez-vous remarqué que cette fois-ci il remonte vingt ans en arrière, c'est le père Jonemann qu'il vise"
  • "forcément c'est le comité de sélection d'Alain Jonemann qui a refusé sa candidature en 1989. Motif : creux !"
  • "pensez qu'il nous a joué du pipeau après avoir fait donner les violons..."
  • "personne n'a été dupe"


20 décembre 2009
Gérard ROUSSEAU
Un maître d'armes passionné

En ce début de période de fêtes, nous devons vous informer du décès, ce matin, chez lui, entouré des siens, de Gérard Rousseau que nous savions condamné malheureusement et dont l'état de santé s'était considérablement dégradé ces derniers jours.

Il aura eu deux joies cette année qui auront été de courte durée :d'abord la naissance de son petit-fils et, le 9 mai, son mariage avec Carole et cela avait été une belle fête.

Arrivé en mairie du Vésinet
comme directeur des sports il y a presque 20 ans, maître d'armes de l'escrime à l'USV, il a beaucoup œuvré pour le sport et les sportifs, au Vésinet et à la Fédération Française d'Escrime, en tant qu'arbitre international et dirigeant.

Il était vice-Président de la Ligue d'Escrime de Versailles et comptait de très nombreux amis dans les milieux sportifs.

Il a été à le déclencheur de la carrière du double champion olympique, Brice Guyart (troisième Vésigondin, dans l'histoire, à monter sur un podium olympique) et de sa sœur Astrid qui marche sur les traces de son frère.

Nous ne connaissons pas encore la date et le lieu de ses obsèques.





17 décembre 2009
RER ligne A
la grève continue

La grève est entrée dans son huitième jour.

Le Premier (par tirage au sort) Vice-Président de la Communauté de Communes de la Boucle de Seine (185.000 habitants) est également le Maire d'une commune qui partage avec Nanterre et Paris le redoutable honneur d'avoir 2 gares de la ligne A sur son territoire.

En d'autres temps, d'autres maires, soucieux du bien-être de leurs concitoyens, avaient demandé et obtenu que des bus relient aux heures creuses les gares du Vésinet (qui servent, notamment celle du Pecq, à toute la CCBS) à La Défense, le Pont de Neuilly ou la Porte Maillot.

Étant retraité,
et profondément replié sur lui-même, l'autiste du Bd Carnot n'a peut-être pas conscience des difficultés et n'a probablement même pas envisagé d'intervenir.





14 décembre 2009
Mixité sociale
Pas incompatible avec densification raisonnable

Le Conseiller-Général et Maire de Chatou, Ghislain FOURNIER, dans l'éditorial de la revue municipale de novembre 2009 traite de ce sujet aigu et très important.

Au risque de plagier on aurait pu rêver d'un maire du Vésinet, soucieux de sa ville et de ses administrés qui tienne un tel langage au lieu des fadaises que Robert Varese nous sert depuis son élection.

Cerise sur le gâteau : Ghislain FOURNIER, tout Vice-Président du Conseil Général qu'il est, trouve le temps de prendre les appels des catoviens toutes les semaines au téléphone.





13 décembre 2009
France Culture au Vésinet
Un avent goût de Noël


Ce matin, à 10 heures, sur France Culture, l'émission "La Messe" était retransmise en direct, depuis l'église Sainte Marguerite du Vésinet.

Le présentateur insista sur la qualité particulière de ce bâtiment qui fut le premier, en France, à être entièrement réalisé en béton et sur les décors de Maurice DENIS qui embellissent ses chapelles.

L'homélie du Curé, le père Marc BOULLE, était centrée sur la Joie, "Gaudete". De l'avis des auditeurs elle était d'une grande qualité.

Réjouissons-nous aussi de cette opportunité exceptionnelle qui est donnée à l'église Sainte Marguerite
d'être mieux connue et, partant, de pouvoir espérer voir un jour restaurés ceux des décors qui ne disparurent pas dans les flammes en juillet dernier.

Le maire du Vésinet, qui s'était invité à une autre grand-messe (voir ci-dessous), ne put honorer de sa haute présence cette célébration. Il faut dire que Frédéric MITERRAND était absent.

On pourra ré-écouter cette émission sur internet
http://radiofrance-podcast.net/podcast09/rss_10272.xml.





13 décembre 2009
Un invité surprise
ou comment déprécier une manifestation

Ce matin, accompagnée de Alain G., Sénateur, de Jacques M., Député, de Jean-François B., Vice-Président du Conseil Général des Yvelines, Valérie P. arpentait les terres du Vésinet Place de la République au Vésinet (Rond-Point du Pecq).

La candidate à la Présidence de la région Île de France venait faire valoir aux populations son programme et les choix de l'U.M.P.

Désireux de l'aider à mettre toutes les chances de son côté, le premier vice-président (par tirage au sort) de la première communauté de communes (par la taille) de France, a décidé de se porter à son aide et de l'accompagner de sa haute présence.

Il faut dire que par ses promesses électorales, par son passé,
par son action, par ses résultats, il était l'un des meilleurs exemples que la candidate pouvait rêver mettre en avant.

Commentaire d'un témoin : "Il n'y a pas qu'au Parti Socialiste que les invités surprise font des ravages.




12 décembre 2009
Pleins feux sur la Place du Marché
ou comment déprécier une manifestation

Du temps même qui précéda l'incendie du Marché, le Noël des Jumelages se tenait sur le parvis de l'église Sainte Marguerite. Sa présence dans ce cœur commerçant et chaland assurait le succès de cette manifestation qui réunit chaque année les représentants de nos villes sœurs et de l'association du Jumelage.

Cette année la mairie avait exigé que cette manifestation se tienne sur sa nouvelle Place du Marché.

Le résultat fut mitigé. Certes le samedi matin lors de la tenue du marché les badauds étaient présents pour recevoir les tracts des différentes oppositions, mais les vendredi et samedi après-midi l'affluence était plutôt limitée. De l'avis des visiteurs, le vin chaud était aussi bon que les années passées, les crêpes de l'association du Jumelage, les meilleures depuis longtemps.



10 décembre 2009
Information confirmée
... périra par l'épée


L'information est exacte. L'arrêté de destitution de Mme LABRY a été pris le 23 octobre. La mairie n'envisage aucun recours contre cet ancien régisseur.
2 poids 2 me
sures ?

9 décembre 2009
Arroseur arrosée ?
Celui qui vit par l'épée...

Selon des sources bien informées le Régisseur Principal de la Mairie, appuyé par la Trésorerie serait sur le point de démettre de ses fonctions le régisseur du Conservatoire.
A l'origine de la décision la découverte de remises suspectes accordées en particulier aux élèves de Mme LABRY.
On se souviendra que cette dame n'avait eu de c
esse, lors de sa prise de fonction, que d'obtenir que des poursuites soient engagées contre son prédécesseur.
A quand la création d'un spectacle financé par la Ville, avec les choeurs et l'orchestre de l'académie lyrique de paris sous la direction de José GENDILLE, sur le thème :

Plus honnête que moi tu meurs






8 décembre 2009

IL EST INTERDIT DE PRENDRE DU PLAISIR

la Place du marché doit rester déserte
Conversation entendue en ville : "Cette place est merveilleuse. Les jeunes vont pouvoir s'en donner à cœur joie. Cette Municipalité fait vraiment ce qu'il faut..."

Hélas Madame ! Il vous faut prendre connaissance de cet arrêté scélérat qui date du 23 octobre.

Il est interdit de faire du vélo, de jouer au ballon ou de pratiquer le patin à roulettes, sauf si vous avez moins de 11 ans.

Une mesure digne de cette Municipalité que vous admirez tant. Peut-être que l'information vous a échappé.


8 décembre 2009

CAVE CANEM

Prenez-garde à la voix de son maître

Soucieux de ne pas perdre une occasion de poursuivre ceux qui lui manquent, le maire a décidé de lâcher son molosse.
Avis aux opposants de tous poils, aux phénix empêcheur de tourner en rond, la Ville pourra désormais porter plainte sans relâche.


6 décembre 2009
Une fidèlité à toute épreuve
Aider ses féaux dans la difficulté

Ce qui rend intarissables les inconditionnels de Robert Varese c'est la fidélité qu'il manifeste à tous ceux qui ont œuvré hier et aujourd'hui dans son sens. Ainsi en est-il du couple LABRY-GENDILLE cruellement atteint depuis peu.

Les attaques et autres critiques dont a été victime, en septembre 2008, la dynamique directrice du conservatoire du Vésinet, l'ont conduit, 15 mois plus tard, à devoir prendre un arrêt de travail à durée indéterminée.
Cela a sûrement des conséquences dramatiques pour le couple, la sécurité sociale ne compensant que les heures contractuelles et pas les heures supplémentaires (600 la première année) qui permettent au couple de survivre.

Il se dit que c'est pour essayer de compenser ce manque à gagner que la Ville du Vésinet a décidé de confier cette année la réalisation du concert de Noël à l'Académie Lyrique des Choeurs de Paris dont Mme LABRY était la Présidente jusqu'en février 2009 avant de cèder la place à son compagnon le chef de l'orchestre, José-André Gendille.

La Mairie n'a pas jugé opportun d'informer les vésigondins (dans le numéro de novembre du bulletin municipal) de la tenue de ce concert offert par la Ville à tous les Vésigondins.

Nous vous précisons qu'il se tiendra le vendredi 18 décembre à 20h45 (le lendemain du vote du budget maintenant la hausse de 50% des impôts locaux) au Théâtre.

Sauf si les modalités ont été changées très récemment le principe est l'attribution des places, à raison de 4 places maximum par famille, d
ans l'ordre des demandes présentées à la billetterie.

Les Vigilants vous souhaitent un bon spectacle.




1er décembre 2009
Un docteur maxima cum laude
Une analyse moderne au service de l'Eglise

Le père Dominique BARNERIAS, prêtre modérateur de la paroisse Sainte Pauline a soutenu sa thèse de doctorat en théologie le mercredi 25 novembre 2009.
Son propos :
"La paroisse dans les synodes diocésains français entre 1983 et 2004"
Le père Bar
nerias a conçu, pour réaliser sa thèse, une étude qui s'apparente aux méthodes des moteurs de recherche afin de croiser le plus grand nombre d'informations issues des paroisses et identifier les sujets majeurs.
Il a été reçu Docteur avec les félicitations du Jury, "Maxima Cum Laude". Cette mention est loin d'être honorifique. Elle est très rarement attribuée et récompense un travail exceptionnel.
Félicitation au jeune docteur qui s'est vu demander par le Jury de publier désormais sa thèse. Encore du travail en perspective !




19 novembre 2009
La gabegie continue...
i-Phone pour tous

Selon l'un de nos membres le maire vient de faire allouer à chaque conseiller municipal de sa liste un i-Phone dont le prix et l'abonnement sont pris en charge par la Ville. Interrogé l'un des adjoints aurait dit : "non c'est seulement pour les adjoints". Il faut bien des compensations pour les efforts hénaurmes que les conseillers RPV déploient dans l'intérêt général.



16 novembre 2009
Faites ce que je dis...
l'insulte aux anciens

"...notre devoir de mémoire vis à vis de ceux de nos anciens qui se sont sacrifiés pour que nous soyons libres aujourd'hui..." L'allocution du maire était digne de toute commémoration qui se respecte.

Mais les échos de son comportement, qui nous parviennent aujourd'hui, ne sont pas à l'unisson de son discours.

Au cimetière (où il était présent pour la première fois en neuf ans) M. Varese, au motif de son antimilitarisme (sic), n'a pas voulu faire la visite traditionnelle de recueillement au carré militaire, au grand scandale des associations d'Anciens Combattants présentes.

Au déjeuner réunissant au restaurant des Ibis les Anciens Combattants invités par la Ville et leurs conjoints invités par leurs époux, le rendez-vous était à 13 heures.
M. Varese est arrivé à 13h30 sans même un mot d'excuse pour ses hôtes, de vingt ans ses aînés.

Tous les invités ont dû attendre que le maire daigne arriver pour se voir proposer l'apéritif !

A la table d'honneur, M. Varese avait convié deux couples de ses amis, M. et Mme A., bien connus rue Armand Chardron, et M. et Mme P., bien connus dans l'industrie du luxe.

Aucun de ces Messieurs n'est membre de l'une ou l'autre des associations à l'honneur.
La Ville a pourtant payé leur repas.
Ces Messieurs, probablement habitués aux prébendes, ont accepté sans broncher.

Le Président, vésigondin, de l'Union Nationale des Combattants et sa femme n'avaient pas été conviés à la table d'honneur.
Sur rappel à l'ordre du président de l'une des deux associations, le maire a condescendu à faire venir l'intéressé, mais pas sa femme qui a dû rester à une autre table !

Si les Vigilants étaient "royalistes", au nom du Vésinet, ils présenteraient toutes leurs excuses à nos anciens pour la goujaterie invraisemblable à eux témoignée.

Qu'ils sachent que nombreux sont les vésigondins scandalisés par ce comportement.



11 novembre 2009
De la béatitude en général
de l'action de grâce en particulier

La cérémonie du souvenir était plus digne cette année.

L'allocution du maire est restée
confuse, grandiloquente et longue, mais la facture en était meilleure. Les emprunts, s'il y en avait, plus discrets que l'an passé et l'on évita les cuirs et autres erreurs historiques.

Tandis que le m
aire passait les corps constitués en revue, l'Harmonie Musicale exécutait un extrait du "Te Deum" de Marc-Antoine CHARPENTIER.
Chacun connait cet hymne chrétien redécouvert à l'occasion de la création de l'Eurovision.
Louis XIV en appréciait tellement l'auteur sur la fin de sa vie qu'il s'était séparé de presque tous les autres musiciens de sa cour.

A moins que M. Varese n'ait pris les vers adressés à Dieu pour un hommage personnel ou voulu combler une aspiration frustrée de représenter la France au concours de l'Eurovision, il faut croire qu'il se voyait déjà chevauchant un blanc destrier lors d'une messe d'action de grâce honorant ses hauts faits d'arme.

L'extase s'est poursuivie par un festin au Pavillon des Ibis. Le ban et l'arrière ban de la Varesie y ont aidé à dilapider les excédents budgétaires.

Cliquez sur la photo pour savourer ce bonheur pur



28 octobre 2009
De l'incompétence en général
de la fontaine en particulier

Les bons ouvriers ont de bons outils. Le vieil adage peut être modernisé : on a les sous-traitants que l'on mérite.
Désespérant de trouver des besoins en investissement, la mairie a décidé de confier la réfection de la fontaine dans la cour d'honneur à une entreprise "spécialisée".
Grand bien lui en a pris. L'entreprise en est à sa troisième réfection. Les résines coulent trop ou bien elles sèchent trop vite ou bien...
A chaque fois l'entreprise doit récurer le travail précédent et refaire... jusqu'à la prochaine fois.
On a les sous-traitants que...




19 octobre 2009
Une ville bien représentée
6 septembre 2009

La ville de Chatou vient de distribuer sa revue municipale d'octobre. Elle y relate les cérémonies du 6 septembre, 65 ème anniversaire de la libération de la Ville et notamment l'hommage aux 27 martyrs.

Ils étaient tous là, voisins plus ou moins proches pour manifester la présence de leurs villes auprès de Chatou.

Tous ! Enfin presque, le rédacteur n'a mentionné aucun représentant du Vésinet pas plus le 1er vice-président de la CCBS (par tirage au sort), qu'un de ses représentants.

En revanche, comme depuis de nombreuses années, l'Harmonie Municipale accompagnait le défilé et a joué la Marseillaise. Elle participait comme Association indépendante et non en service commandé pour représenter Le Vésinet. Dommage !




18 octobre 2009
Bernard de NERCY
20 janvier 1931 - 12 octobre 2009

Nous apprenons la disparition de Bernard de NERCY qui fut conseiller municipal au Vésinet de 1965 à 1971 et Maire-adjoint aux affaires scolaires de 1971 à 1978.
La Ville avait institué un Médiateur pour venir en aide à ceux de nos concitoyens qui rencontraient des difficultés dans leurs démarches tant vis à vis des administrations que des entreprises.
Lorsque Daniel PREVOT, le premier titulaire de ce poste bénévole, se retira, Bernard de NERCY lui succéda. Il a occupé ce poste jusqu'en 2007.

Les funérailles de Bernard de NERCY ont été célébrées en l'église Saint Léonard de Croissy sur Seine, ce vendredi 16 octobre. Nos pensées vont à ses proches.



14 octobre 2009
A l'insu de son plein gré
CalimeRo... bert

1h30 c'est le temps que cela a pris à notre bon maire pour expliquer aux parents d'élèves que c'était vraiment pas sa faute. Que c'était la préfecture qui n'avait rien compris. Qu'ils avaient pris pour argent comptant une simple piste. Que maintenant c'était trop tard, pensez, les codes à barre sont imprimés !

1h30 ! Ils avaient des enfants à faire dîner, des activités programmées... mais non il fallait qu'il leur dise que si c'était que de lui jamais ce serait passé comme cela.


Il faut dire qu'il est entraîné pour se faire plaindre même quand il a le doigt dans le pot de confiture.

Son éditorial dans la dernière revue municipale explique que l'état déplorable de la propreté au Vésinet c'était pas sa faute.
Bon d'accord il a réduit
le 21 janvier dernier l'ensemble des prestations de la SITA de plus de 50% et supprimé entièrement le nettoyage des trottoirs, juste après avoir augmenté les impôts de 50%, mais maintenant...

on va voir ce que l'on va voir.


Nous vous invitons à relire la deuxième partie de notre article consacré à la tenue inopinée d'une séance du conseil municipal du 14 septembre intitulé "Toute honte bue".




13 octobre 2009
Les radios parlent du Vésinet
RTL un matin de la semaine dernière

Il semble que l'appel de taxe d'habitation est parvenu chez certains et que la douloureuse est encore plus douloureuse que pour la taxe foncière.
Certains Vésigondins ont su le faire savoir comme en atteste l'enregistrement ci-dessous.

Cliquez sur la flèche blanche sur fond vert pour commencer à écouter
tilidom.com



9 octobre 2009
Les associations manifestent
Réunion publique le 14 octobre à 20h30

Pas moins de trois associations se sont regroupées pour diffuser sur Croissy, Le Vésinet, Le Pecq, un tract prônant la mobilisation et incitant les Croissillons, les Vésigondins et les Alpicois à se manifester auprès du Commissaire Enquêteur en Mairie du Vésinet. L'enjeu : le sort des terrains au sud de l'hôpital.
Ce tr
act fait le contrepoint d'une tribune publiée hier par Jean-Nicolas BECUE sur le site www.notrevesinet.com.


7 octobre 2009
Le sergent recruteur
WEBER : syndiqué d'honneur

En moins de six mois le bouillant sous-marinier que le monde nous envie aura accompli un tour de force.

Celui dont certains élus de la majorité disent encore :
"il a été embauché pour réveiller la belle endormie" peut prétendre affronter les plus grands.

Grâce à lui la Ville se modernise. Pour preuve : une importante section syndicale, comme Le Vésinet n'en a jamais connu, est en train de se déployer.

F.O. cherche encore comment remercier ce sergent-recruteur d'un autre âge.




4 octobre 2009
Comment dissimuler un demi-million d'euros
HEC a encore frappé

Une nouveau tour de passe-passe a bien fonctionné le jeudi 24 septembre et nous-mêmes n'y aurions vu que du feu si l'un de nos lecteurs (que nous remercions ici) ne nous avait alerté.

Le maire-adjoint aux finances s'est bien gardé de laisser la moindre trace écrite de sa haute voltige. Mais dans la présentation orale il n'a pas pu totalement dissimuler ce que révèle cette modification du budget voté le 18 décembre 2008.

En section d'investissement, la "subvention d'investissement d'état non transférable" est en fait le remboursement d'une subvention reçue par la Ville de la DRAC (Direction régionale des Affaires Culturelles) pour la médiathèque et que l'arrêt du projet à condamner la Ville à rembourser.

Le socialiste André MICHEL a souligné que cela prouvait que le compte administratif 2008 n'était pas sincère puisque cette dépense était déjà connue en 2008.

Roger VLIEGHE a présenté une défense piteuse en expliquant qu'elle ne pouvait être comptabilisée avant que la demande de remboursement n'ait été présentée à la Ville.

Quel dommage qu'en prenant sa retraite R. VLIEGHE ait oublié l'existence des provisions.

Félicitons M. MICHEL d'avoir rappelé au RPV sa forfaiture.

En section de fonctionnement :
  • le poste "annonces et insertions" (6231) est une rallonge pour faire face aux annonces de recrutement de nouveaux collaborateurs de la mairie. Quel manque de prévoyance incroyable !
  • le poste "voyages et déplacements" (6251) serait une rallonge de 10.000 euros à un poste déjà bien pourvu (l'explication avancée : le droits des personnels en provenance d'outre-mer à un billet d'avion tous les deux ans).
    Étonnante explication : nous fera-t-on croire que ces dépenses n'étaient pas identifiées au mois de décembre 2008 ?
  • le poste "taxe foncière" (63512) serait-une nouvelle version de l'arroseur arrosé. Nos apprentis sorciers n'auraient pas pris en compte l'impact de leurs nouvelles taxes foncières en particulier sur les nouvelles propriétés de la Ville (legs SUZANNE, legs BARGNIER).
  • le poste "dépenses imprévues" (022) a donné lieu à une présentation orale étonnante :
    Pour le prestigieux adjoint aux finances, le poste "dépenses imprévues" sert de variable d'ajustement pour absorber l'excédent des subventions CEDOR versées par le Conseil Général !!!
    Roger VLIEGHE justifie cette nouvelle acrobatie en expliquant que les communes peuvent porter leurs dépenses imprévues jusqu'à hauteur de 7,5% du budget total.
    Grossière déformation : le code dit que les villes peuvent budgéter au cours d'une année un maximum de 7,5% de dépenses imprévues dès lors qu'elles sont confrontées à une telle situation.
    Le code n'a jamais suggéré que les villes pouvaient se constituer de telles cagnottes pour camoufler leurs excédents.
Ajoutés aux 6 millions d'euros qui dorment, placés par notre super HEC, ce demi-million supplémentaire (503.000 euros) posait problème au moment où vont tomber les feuilles de taxe d'habitation, majorées de plus de 35%.



1er octobre 2009
Au conservatoire on est vraiment à l'abri
600 heures supplémentaires

Au titre de la saison septembre 2008 - juin 2009 Mme LABRY, la nouvelle directrice du conservatoire Georges BIZET, aurait réussi le tour de force de se voir payer 600 heures supplémentaires par la Ville.

Sachant que Mme LABRY doit au conservatoire 37,5 heures par semaine, y compris en juillet et en août, que ses congés payés ne pouvait excéder cette année 22,5 jours, qu'elle est comptabilisée par la RATP environ 12 heures par semaine, sans préjuger du temps qu'elle consacre à son académie d'art lyrique ...

"C'est l'histoire d'un avocat qui explique à Saint Pierre qu'il est très jeune et qu'il n'a aucune raison de mourir. Saint Pierre ne l'entend pas de cette oreille. Pour lui l'avocat a 95 ans passés !
Après enquête la différence venait de ce qu'au paradis on avait comptabilisé toutes les heures facturées par l'avocat à ses clients ..."



28 septembre 2009
EAU
La Lyonnaise a corrigé

La facture de septembre est tombée.

Nous avons tout de suite v
érifié que la Lyonnaise avait tenu ses engagements.

La surfacturation que no
us vous annoncions dans notre article d'avril intitulé "Une goutte d'eau" a été corrigée. Pour le vésigondin dont nous publions la facture (avec nos remerciements) 27 centimes HT sont de retour.
Cela ne l'a pas empêché d'observer que la part de la Ville était désormais de près de 11% du montant HT de sa facture. 24,96 € pour 234,44 €HT.

Du pain bénit pour Robert Varese et son équipe qui n'ont pas hésité à majorer l'ardoise de 40% en 2009.




21 septembre 2009
Conseil Municipal du 14 septembre
Toujours plus de désinformation

On peut se demander pourquoi le Conseil Municipal a été réuni le lundi 14 septembre 2009, alors qu'une séance était prévue et annoncée le jeudi 24 septembre.

Notre analyse...



19 septembre 2009
Chemin de Ronde
Robert Varese ? Absent !

Ils étaient tous là, élus et non élus, jeunes et moins jeunes, pour cette balade à vélo, organisée par le maire de Croissy à l'occasion de l'inauguration du Chemin de Ronde.

La Ville du Vésinet était représentée par son maire honoraire, Alain-Marie FOY, co-initiateur du projet lancé en 2005 et auquel le maire de Croissy comme le Président de la Communauté de communes ont rendu hommage. (On devine sa présence discrète, entourée d'un rond rouge)

Est-ce à cause de cet hommage que le maire de la commune limitrophe, premier vice-président de la CCBS a boudé cette cérémo
nie ?

Quand, entouré du député-maire de Maisons-Laffitte, Jacques MYARD, du Vice-Président du Conseil Général et député de la 4ème Circonscription, des Vice-présidents du Conseil Général, Pierre LEQUILLER, député de la 4ème circonscription, Ghislain FOURNIER, maire de Chatou, Jean-François BEL, maire de Montesson, du sénateur-maire du Pecq, Alain GOURNAC, et de Jean-Roger DAVIN, maire de Croissy, Christian MUREZ, Président de la CCBS, fit son discours à l'issue de ce périple le long du chemin de ronde, il était par trop évident que Le Vésinet n'était pas représenté.





18 septembre 2009
Le retour d'ascenseur
n'a jamais fait partie des pratiques du RPV


Les incantations de Mme HUBERT n'y feront rien.
Les journées du Patrimoine ne sont que simagrées pour le RPV dont on peut constater qu'il laisse le Vésinet se déliter jour après jour.


Après la destruction d'une partie de l'œuvre de Maurice Denis dans l'Eglise Sainte Marguerite (la municipalité a commencé à s'intéresser au sujet lorsque le Ministre a manifesté son intention de venir constater les dégâts),
la réduction des services d'entretien (tonte et balayage),

ce sont les personnes à mobilité réduite qui souffrent depuis quinze jours de l'arrêt de l'ascenseur installé depuis 2006 à la gare RER du Vésinet Centre (côté Maurice BERTEAUX).

Quel dommage que le Ministre ne se déplace pas ! On aurait enfin une réactio
n.

Car le pis est que, comme pour les vitraux et les pelouses, ni à l'accueil en Mairie, ni sur le site INTERNET il n'y a la moindre information sur QUI, QUAND, COMMENT ?
Mais gageons que le maire saura voler au secours de la victoire et se fera immortaliser dans une prochaine revue municipale devant la machine enfin réparée.



11 septembre 2009
Inauguration du Chemin de Ronde
sans le Vésinet
Tiens !
Le premier vice-président (après tirage au sort) de la Communauté de Communes de la Boucle de Seine n'est pas puissance invitante de l'inauguration du Chemin de Ronde aménagé.

Peut-être est ce dû au fait que, sans aucune vergogne, dans sa dernière revue municipale, le premier vice... etc. n'a pas hésité en page 9 à présenter l'achèvement du chemin de ronde comme faisant partie des travaux d'été du Vésinet. (Vive l'Intox !)



8 septembre 2009
Paroles, paroles...
Pôle... position avortée
C'était en décembre 2004.

Dans une de ces envolées emphatiques dont elle a seule le secret, l'adjoint à la sécurité et aux transports de l'époque expliquait en claironnant à ses collègues qu'elle avait négocié un contrat de pôle avec le Syndicat des Transports.

3 millions d'euros étaient mis à la disposition de la Ville pour améliorer l'accessibilité, le service offert et revoir le stationnemen
t.

Les communiqués ultérieurs faisaient tous référence à des avancées spectaculaires.

Depuis quinze mois, elle est devenue l'adjoint à la sécurité et aux transports de l'équipe qui conspuait le "piètre entretien des voir
ies et trottoirs" lors du mandat précédent.

On peut voir que Madame LANG a eu à cœur de faire jouer toutes ses relations et qu'elle s'est sérieusement attaquée aux problèmes de la voirie et du stationnement devant la gare du Vésinet Centre.




6 septembre 2009
Des goûts et des dégoûts
chassez le naturel...

On a parlé de 40.000 €, puis de 80.000 €... En final il semblerait que l'on soit plus près de 100.000 €
.

Le résultat est là, le petit hôtel particulier du XIXème Siècle qui abrite les Directeurs Généraux de la Ville depuis p
rès de 50 ans a été entièrement refait aux goûts du petit chef.

Voilà le hic : "Les goûts du petit chef" !

Alors que le câble est accessible partout,
à deux pas d'une mairie bénéficiant des réseaux les plus sophistiqués,
dans une Ville qui dépense chaque année des centaines de milliers d'euros pou
r enfouir ses câbles électriques et téléphoniques,

quelle saveur de voir un bâtiment entièrement refait orné d'une "parabole" digne de celles qui décorent les cités !

Sacré Xavier, il n'arrêtera pas de nous épater.


5 septembre 2009
RobesWeber (l'an I de la terreur)
Who's next ?

Nous vous le laissions prévoir dans nos colonnes dès le 7 juin dernier.

Xavier, le petit chef, à l'hôtel de fonction (par nécessité absolue de service ?), a eu la tête de
Pierre VANSOETERSTEDE, le Directeur des Services Techniques. Ce dernier devrait cesser d'exercer ses fonctions en novembre prochain.

A compter de cette date et jusqu'à ce qu'il ait trouvé un autre emploi, la Ville lui paiera son salaire à ne plus exercer.
En moins de deux ans la Ville aura ainsi perdu la quasi totalité de son capital mémoire. En attendant que les derniers grands témoins de l'époque précédente ne soient décapités.



4 septembre 2009
Criminel ?
Le maire pérore, les Vésigondins déplorent

Qu'un si bel incendie lui donne de rencontrer les puissants de ce monde, il en jubile, l'impie qui appelle de ses vœux l'avènement des maçons au détriment des autres églises.

Affichez la photo, ni ses mains, ni sa mine gourmande, n'arrivent à cacher son bonheur. Le ministre en semble même consterné !

Il n'est pourtant pas si franc l'édile, car il évite d'admettre ce que des proches de la paroisse racontent désormais.

Il semblerait que tout au long du mois de juillet,
avant l'incendie qui a détruit à jamais une partie du patrimoine artistique de la Ville, l'église Sainte Marguerite ait été la proie d'actes de vandalisme qui ont forcé la Cure à fermer l'église de façon permanente.

Le premier magistrat en a été informé. On dit même que la Police Municipale a proposé de multiplier les patrouilles. Ni lui, ni son adjoint à la sécurité n'en ont eu cure. Il aurait même été répondu à la P.M. que ce n'était pas à elle de fixer les priorités.

Criminel ? vous avez dit criminel ?




3 septembre 2009
Sc°°p
Une municipalité à la pointe en termes de communication

Il s'agit évidemment d'un clin d'œil mais les Vigilants invitent leurs concitoyens à venir admirer le panneau situé devant le poste de la police municipale qui leur donnera toutes les informations relatives à l'avancement du chantier Place du Marché.



31 août 2009
Les manigances du premier magistrat
Tout est dans l'apparence

On se souvient peut-être de la communication officielle du maire au début de la session du conseil municipal du 18 juin dernier.
video

Pour ententendre cet extrait de 1' 19'' il vous suffit de cliquer sur la petite flèche noire en bas à gauche dans le cadre ci-dessus.

Lors de cette intervention le maire a dénoncé de multiples irrégularités et dysfonctionnements dont l'ampleur justifierait le recours au sous-préfet pour informer les conseillers municipaux des règles à respecter.

Les spectateurs avaient pu rapidement se convaincre de l'inanité de cette intervention mettant en avant de prétendues "fautes de procédures", dont la responsabilité revient en principe au personnel communal (nous ne commenterons pas le caractère désastreux d'une telle intervention en termes de gestion de personnel), pour justifier d'administrer aux conseillers municipaux une séance de formation délivrée par le Sous-Préfet !

Aux derniers renseignements il semblerait qu'il n'y ait pas eu de conseil "privé" et qu'aucun ne soit prévu. Mais les déclarations solennelles sont de mise pour celui qui coupait les bateaux en deux.


11 août 2009
Le décor de Maurice Denis partiellement détruit par le feu
Merci à la Tribune de l'Art

Sans laquelle les Vésigondins n'auraient aucune information sur l'incendie survenu dans la nuit du 25 au 26 juillet 2009 et qui a gravement endommagé la chapelle du Sacré-Cœur. Un vitrail, sur les trois qu'elle contient, a été totalement détruit et le décor, peint sur toile marouflé, est extrêmement détérioré.

L'article ci-dessous donne de plus amples détails et publie des photos des œuvres détruites.

http://www.latribunedelart.com/Nouvelles_breves/Breves_2009/08_09/Destruction_Denis_1049.htm#3n




8 août 2009
La femme de César
doit être irréprochable !

L'une des entreprises, choisie par le Maire sans appel d'offres (*), pour réaliser des travaux au 17 rue Thiers (**), viendrait de terminer des travaux au Vésinet dans l'une des propriétés immobilières que Robert Varese y possède.

Sans commentaires !

(*) Cette procédure est légale en dessous d'un certain montant de travaux.

(**)
Local de campagne du RPV de Robert Varese et futur siège de la Police Municipale, parcelle inconstructible d'une superficie SHON de 170 m², acheté 825.000 € au lendemain des élections dans des circonstances contestables.


2 août 2009
Assurance
La meilleure façon de choisir

La mairie aurait trouvé un moyen assuré de choisir les prestataires.
Pour le 17 rue Thiers, ancien local de campagne municipale de la liste "Pour le renouveau du Vésinet", le maire n'aurait pas de doute quant aux prestataires.



28 juillet 2009
Etonnement
Où sont-ils donc passés ?

Deux jours après l'incendie (volontaire ou non) qui a abimé une partie du patrimoine artistique de notre Ville, la Mairie est aux abonnés absents.



Au téléphone
personne ne sait et l'adjointe à la Culture ne peut être dérangée, le Maire n'en parlons pas.

Sur le site de la Ville, l'équipe de communication, renforcée à prix d'or par le recrutement d'un journaliste n'a rien à dire, si ce n'est que les Vésigondins peuvent partir en vacances tranquilles.



28 juillet 2009
Sainte MARGUERITE (suite)
Un désastre !

Apparemment le départ du feu vers 4 heures dimanche matin se serait produit dans l'enclos du matériel du marché.

Sous l'effet de la chaleur un des vitraux, au moins, aurait fondu et se serait fendu. Les autres sont au minimum noircis.

C'est une catastrophe pour le patrimoine de la commune et le patrimoine nation
al, l'œuvre (vitraux et peintures sur toile marouflée) de Maurice DENIS (1870 - 1943) récemment restaurée par la précédente équipe municipale est inscrite à l'inventaire des monuments historiques.

Un expert devait passer hier après midi.

La petite fille de Maurice DENIS a été alertée par l'un des membres de notre Collectif dès dimanche.


27 juillet 2009
Sainte MARGUERITE
Que s'est-il passé ?

Incendie à Sainte Marguerite dans la nuit de samedi à dimanche ?

Qui d'entre vous aurait des informations sur les circonstances et les dégâts occasionnés à l'œuvre de Maurice Denis, restaurée depuis 2007-2008 ?

Le site de la ville est muet. Rien n'est écrit sur la porte de l'église barricadée.
Vu de l'enclos pour le matériel du marché c'est très inquiétant.




27 juin 2009


BEL-AMI : le retour
La nouvelle formule est lancée

Hier soir le restaurant était ouvert. Un menu trônait sur le trottoir et clairement les clients étaient attendus.




21 juin 2009
ECO-ART
Changer la couleur du Monde

Emmanuel PLASSART, au nom du Théâtre et du Cinéma du Vésinet, a remis le prix éponyme aux enfants de la Maison St Charles qui ont proposé une sculpture de couleur blanche.

Outre la qualité de la sculpture ce qui a retenu l'attent
ion du Directeur du Théâtre c'est l'explication que les jeunes artistes ont posée : le blanc permet à chacun de donner au Monde la couleur qu'il veut lui voir.



21 juin 2009

Bravo au Vésinet ?
Des nappes damassées

Vésigondins et autres visiteurs, nul n'en revenait : certes les impôts avaient été augmentés de 50% mais là, on rentrait dans son argent ! La Ville soucieuse de l'apparence, soucieuse de l'apparat, avait pensé à un détail auquel aucun des prédécesseurs de Robert Varese n'avait jamais pensé.

De ceux qui avait refusé en 1989 de le prendre sur leur liste, de ceux qui avaient convaincu de Vienne de la même chose en 1995, de ceux qui l'avaient battu en 2001, aucun n'avait eu l'idée d'offrir des nappes damassées pour le déjeuner de la Marguerite. Quelle classe ce Robert !

Les commentaires allaient bon train, certains proches de la restauration faisaient déjà leurs comptes, tous étaient admiratifs.

Las ! Une rumeur enfla bien vite qui si elle est confirmée ruinera cet enthousiasme.

Il se murmure que c'est l'entreprise, retenue par la Ville pour livrer les tables, qui se serait trompée en livrant des tables inutilisables sans nappes...
Pressée par le temps elle aurait choisi de livrer à ses frais ces nappes qui ont tant fait d'admirateurs.

La Ville aurait fait savoir qu'il ne lui en coûtera rien.



21 juin 2009
Bravo à Chatou
Un grand spectacle

Un final époustouflant a embrasé le ciel de l'île des Impressionistes hier soir vers minuit moins le quart. Il clôturait un magnifique spectacle pyrotechnique dont la société chargée du lancement peut également être félicitée.
Il suivait une heure et demi de concert donné par le groupe RABEATS qui interprète exclusivement des chansons des BEATLES et qui a rappelé qu'il se produirait en janvier au Grand Rex à Paris. Ils n'ont boudé ni leur temps ni leur énergie et ont emmené un public bon enfant à retrouver la ferveur d'antan.
Selon les témoins il y avait au moins 2.500 personnes dans l'île et environ 500 sur la passerelle du RER.




20 juin 2009
15ème anniversaire du jumelage avec Worcester
Ténu

Le 8 mai dernier il y avait eu "dirimant" que le maire du Vésinet avait cru nécessaire d'utiliser à contre-emploi lors de son allocution sur l'Europe.

Aujourd'hui, dans un de ces discours dont il a le secret, il a déclaré en s'adressant à la délégation de Worcester que "avec le temps, les fils de l'amitié sont devenus de plus en plus ténus (sic)..."

Comme aurait peut-être dit Montaigne : "The higher the monkey climbs, the more he shows his arse"




19 juin 2009

Week-end : défaite de la Marguerite

Feu le feu d'artifice

Méconnaissance ou volonté délibérée de la municipalité la nouvelle fête de la Marguerite entre cette année en concurrence avec d'autres manifestations.
Alors que cette fête avait conservé jusqu'ici son caractère spécifique et unique, la Ville propose cette année des musicales... comme toutes nos villes sœurs !

N'hésitez pas à consulter leurs programmes :


Avec une mention spéciale à la ville de Chatou pour les nostalgiques du feu d'artifice. Elle propose un spectacle exceptionnel le samedi 20 juin dans l'ile des Impressionnistes avec à 21h30 un concert de "The Rabeats", suivi à 23h15 d'un feu d'artifice.


A cette heure là, les conseillers municipaux de la liste "Ensemble pour le Renouveau" du Vésinet seront vraisemblablement couchés.



18 juin 2009
Cérémonie de commémoration de l'appel du 18 juin
Une absence insultante

Le maire du Vésinet, 1er vice-président par tirage au sort de la C.C.B.S., avait co-signé l'invitation conviant les personnalités à la commémoration de l'appel du Général de Gaulle, qui se tenait, comme chaque année au Pecq, en présence du Sous-Préfet, du Maire de Saint Germain, des Conseillers Généraux et des élus de la ville du Pecq.

Heureusement que les associations d'anciens combattants du Vésinet et leurs drapeaux, représentaient notre Ville.
Le m
aire du Vésinet qui s'affiche dans VESINTOX Magazine leur serrant la main n'était ni présent, ni représenté. Mais soyons sérieux : qui aurait pu le représenter ?




17 juin 2009
Succès pour le Collège
Salle bien remplie

Ce mardi, la principale du Collège, Mme MARY pouvait se féliciter. Plus de 450 personnes s'étaient déplacées pour admirer les collégiens qui se produisaient sur la scène du théâtre. L'atmosphère était joyeuse et le résultat de valeur.

Seul ombre au tableau, en l'absence de la hiérarchie académique, la mairie n'avait pas jugé opportun de se déplacer.

Une conseillère municipale, Mme KERSTEN, dont le fils est au collège, a b
ien essayé de donner le change, mais la vérité éclatait : ni le maire, ni l'adjoint à la Culture, ni l'adjoint à la Vie Scolaire, ni l'adjoint à la Jeunesse, n'avaient jugé l'évènement suffisamment important pour l'honorer de leur présence.



16 juin 2009
Cher leader !
La flagornerie est au rendez-vous

Quelle revanche pour le "fils des boutiquiers marseillais" !

Pas moins de neuf photos à sa gloire. Un hommage permanent qui pourrait faire croire à une "hyper-présence".

Il pourrait méditer Elie FAURE : "la vanité est neuf fois sur dix la source du ridicule."




12 juin 2009
Ascenseurs

Pis que ce que l'on pouvait croire !

Chacun se souvient de l'émotion éprouvée par les Vésigondins en découvrant qu'à peine un mois après être entré en fonction le nouveau maire n'avait pas hésité à faire acheter le local qui abritait sa campagne municipale. Et ce dans des conditions financières questionnables.

Aujourd'hui on apprend que le personnage payé près de 25.000 euros à l'automne 2008 par la Ville pour une enquête très "virtuelle" a bénéficié également des fonds publics lors de la tenue au printemps 2008 d'un séminaire dont les participants (conseillers municipaux) n'ont, pour certains, toujours pas compris l'objectif.

Sa rémunération, là aussi, était importante.

Le procédé serait déjà contestable si le bénéficiaire avait été un quidam sans lien avec la municipalité.

Mais il semble qu'il s'agisse d'un vésigondin, membre de la liste de soutien du RPV pendant la campagne et ayant participé à la conception et à la réalisation des tracts et autres communications de cette liste.

Bien entendu et comme pour le local de campagne, on ne saura jamais ni l'importance du cadeau concédé (la commission des comptes de campagne n'a pas été tenu informée de ces évènements étonnants) ni des éventuelles promesses qui s'inscrivaient en face de ces cadeaux.

Cette liste prônait le Renouveau pour le Vésinet.

Assurément on peut parler de renouveau : le mélange des genres est désormais la règle au Vésinet.

Formons des voeux pour que ces pratiques douteuses soient interdites par le Législateur afin que les listes comme le R.P.V. ne puissent plus les utiliser.


9 juin 2009
A qui le tour ?
Jeu de massacre au pays de Pallu.

Nous venons de passer en revue la frénésie qui s'est emparée de la mairie.

Après avoir accusé l'héritage puis blâmé les temps, le maire et son directeur général, récemment revenu d'outre-tombe, se cherchent de nouveaux boucs émissaires.

Le numéro 23-1985 de la gazette des communes en date du 8 juin 2009 nous apprend que la Ville du Vésinet recherche un spécialiste des Marchés Publics.

Peut-être fera-t-on endosser à celui qui officie actuellement pour la Ville la responsabilité du non respect des promesses électorales ?


A quand un responsable du dérapage désigné à la vindicte populaire !


8 juin 2009

Les boucs émissaires (bis)
les servants paient pour les maitres

Sera-ce du fait du conservatoire ? ou de celui de la mairie ?
Quoiqu'il en soit la secrétaire du conservatoire risque de perdre son poste... pour insuffisance d'implication.


7 juin 2009

L'engagement des Vésigondins
moindre qu'en 2004...

...mais sensiblement meilleur que la nation.



7 juin 2009

Tel valet, tel maitre
crime de lèse varese

En ce bel après-midi de juin (un peu pluvieux) le conservatoire avait convié pour 16 heures, les parents des 216 enfants qui constituent les classes de danse. Dans le même temps les élections européennes se déroulaient.
Robert avait profité de l'aubaine et Josette aussi, pour faire dire aux parents qu'il ne fallait pas leur en vouloir, que leurs marmots étaient passionnants, mais que, Élections Européennes obligent, ils ne pourraient en être...
Pourtant à 16 heures, Robert n'était pas plus à la mairie qu'au théâtre.
Un parent d'élève irrespectueux du statut sacré de notre Robert eut l'outrecuidance de stationner son véhicule sur la place du maire.

Quand notre Robert arriva, tellement courroucé il fut, qu'il parqua son char japonais de manière à empêcher le quidam de s'en aller.
Un tel affront pour le premier vice-président, par tirage au sort, de la communauté de communes était insupportable. Sa cour complaisante, complut.

L'histoire ne dit pas si robert, pour se venger de l'affront, la maréchaussée appela. Le quidam en tout cas sur l'herbe fit rouler son char VW et sans se préoccuper de l'ego meurtri du Robert, s'en alla.



7 juin 2009

Les boucs émissaires
Pierre VANSOETERSTEDE paiera-t-il pour le petit chef ?

Xavier a tellement senti le vent du boulet qu'il prend ses précautions.
Outre le bunker qu'il fait construire dans sa cave, il va aider le maire et son adjoint au Personnel à pousser dehors le Directeur des Services Techniques.
Il faut dire que Xavier connait la musique, il vient de subir deux limogeages et d'en frôler un troisième.


5 juin 2009

Retour en grâce
X. WEBER ne serait plus inquiété

Le sympathique Directeur Général des Services que toutes les communes s'arrachent est sorti du purgatoire.
En consécration de sa réhabilitation il a obtenu que son logement de fonction soit entièrement refait. Jusques et y compris la cave qui est en passe d'être entièrement carrelée aux frais des Vésigondins.
Quand il s'agit de Xavier on ne compte pas.
Certains osent affirmer que l'enveloppe globale dépassera les 40.000 euros !
Nul doute que la nécessité absolue de service justifie de refaire le dallage de cette pièce.
Mais on est jamais trop prudent. Si les décisions les plus impopulaires de M. WEBER poussaient à bout ses administrés et qu'il doive se réfugier dans sa cave, il ne faudrait pas que son confort en pâtisse.
On rapprochera cette information de celle d'hier ci-dessous.


4 juin 2009

Économies
Le Vésinet met les bouchées doubles.

Pour compenser certaines dépenses effarantes la municipalité a pris le taureau par les cornes.
Notre bienveillant maire adjoint aux finances vient de mettre les derniers détails à une mesure qui va faire rentrer l'argent dans les caisses de la Ville.
Dans une ville certains personnels doievnt pouvoir répondre à tous moments. Pour permettre cela on organise des vacations pendant lesquels, à tour de rôle, ils sont d'astreinte. Ils ne travaillent pas mais doivent pouvoir être joints instantanément pour le cas où...

Ces personnels, susceptibles d'astreintes, bénéficiaient jusques aujourd'hui d'une participation de la Ville aux frais fixes des lignes téléphoniques sur lesquelles ils pouvaient être joints à ces occasions.
Ce ne sera bientôt plus le cas. Roger VLIEGHE table sur des économies significatives.

17 mai 2009

Mouvement Économique du Vésinet
des promesses sans suite !

Le Mouvement économique du Vésinet (M.E.V.) est né du mariage de l'Association des Commerçants du Vésinet (A.C.A.V.) regroupant essentiellement des commerçants du Centre et quelques commerçants de la place des Charmettes et de "Commerçants et Artisans du Rond-Point et Environs" (C.A.R.P.E.).
Ce mariage, forcé par la Mairie, est en train d'accoucher d'un abcès.
Les commerçants, fortement éprouvés par la durée des travaux sur la place du Marché, par le déplacement du marché place de l'Église, par la manière dont le maire, lui-même fils de boutiq
uiers, avait exprimé son dédain pour ces pleureuses (sic) et par la crise, se sont vus signifier que s'ils voulaient espérer maintenir leurs subventions ils devaient se regrouper en une seule association.
Ils se sont exécutés.
Aujourd'hui on leur annonce que s'ils veulent obtenir 3.000 euros de subventions il leur faut présenter des comptes certifiés par un commissaire aux comptes (coût estimé 2.000 €).
Ambiance, ambiance.

9 mai 2009

Première journée de l'Europe au Vésinet
un bide de plus !

Les exposants se sont battus les flancs le matin, concurrence du marché oblige.
L'après-midi c'était encore pire ; il n'y avait pas un chat.
La directrice du conservatoire avait convié une chorale de la RATP (celle-ci ferait mieux de faire fonctionner son réseau ferré) et un orchestre qui n'a pas voulu sortir ses instruments de leur étui à cause du risque de pluie et d'humidité, malgré la présence d'une tente : comprenne qui pourra !
Combien toute cette organisation a-t-elle coûté au contribuable pour ce piètre résultat ou retentissement ?
Rétrospectivement il est heureux que nos villes jumelles n'aient pas été présentes, elles se seraient senties ridiculisées.

6 mai 2009

Le conservatoire jouera-t-il demain
à GUICHERD fermé ?


Comme Céline DION elle a une voix qui porte. Comme Céline DION elle avait un René. Le sien s'appelait FINEL.
Elle est venue au Vésinet avec d'autres ambitions que la simple direction d'un conservatoire.
Quand elle ne chante pas elle avance ses pions. Mais ce n'est pas son mari qu'elle verrait bien prendre la main, c'est son nouvel homme, chef d'orchestre. Il participera au jury d'examen du conservatoire et puis à l'automne au spectacle que son académie d'art lyrique présentera sur les planches du Théatre.
C'est comme cela que l'on tient la maison. La maison des maç..
Au "Nain jaune", rafler toutes les mises s'appelle faire le "Grand Opera". Nul doute que Robert sera séduit.


30 avril 2009
Que fait-on des fils de Mme GERAUD ?
ou de l'usage des questionnaires

Roger VLIEGHE, plus connu sous les sobriquets de Grand Révisionniste et d'HEC, fait distribuer ces jours-ci, avec le 3ème numéro de VESINTOX, bulletin de propagande municipale, un nouveau questionnaire.
Selon nos informations, si ce questionnaire est bien charpenté, c'est que contrairement au précédent il a été conçu par HEC lui même.
Pour le fond cela pêche davantage ! L'objet du questionnaire serait de déterminer l'intérêt d'un troisième jour de marché sur la place du Marché dans le Centre.
Vu le faible engouement que connait le marché du mardi depuis plusieurs années, les hypothèses vont bon train.
Pour un grand nombre il s'agirait d'éviter l'effet de place déserte, battue au vent, que chacun peut déjà imaginer.
Ce qui est amusant c'est que les marchés du Vésinet sont affermés et que l'entreprise fermière n'a même pas été consultée.
A HEC on apprend à faire des "cas". Le Grand Révisionniste essaie peut-être d'aggraver le sien ?


30 avril 2009

Xavier Weber
aura-t-il raison de lui même ?

Xavier WEBER, le bouillonnant sous-marinier, nouveau responsable des Services de la Ville du Vésinet serait en sursis. Son comportement, tant sur la forme que sur le fond, a eu pour résultat une levée de bouclier des principaux adjoints qui exigeaient son départ. Soucieux de ne pas se déjuger le maire a temporisé. Xavier WEBER a deux mois pour faire ses preuves. Le 30 juin on saura s'il aura eu raison de lui-même.


2 avril 2009
Caractère propre
du Vésinet


On nous apprend que la municipalité envisage très sérieusement de supprimer la bande engazonnée qui sépare les deux voies du Bd Carnot entre le rond point de la Grâce de Dieu et le Bd d'Angleterre.
Le motif invoqué, le développement durable : il est bien trop cher d'entretenir cela aux beaux jours quand il faut tondre l'herbe !
Nul ne doute que les trois francs six sous d'économies ainsi réalisées n'aient pour objectif de compenser les intérêts financiers versés pour emprunter des sommes inu
tiles.
Pourquoi alors ne pas étendre le raisonnement et macadamiser aussi les pelouses classées.
L'économie de tonte sera encore plus importante.