"Comme elle était douce la prise de travail matinale des agents de service à la résidence SULLY. Une douce ronde de café attendait pendant une bonne heure pour permettre l'arrivée des retardataires avec l'adjointe au milieu.
Pendant ce temps elle ne pouvait voir la crasse qui s'accumulait dans les cuisines et ailleurs. Il aura fallu une glissade malencontreuse pour que la Directrice s'en aperçoive.
A qui la faute de tout cela ?
Aux agents bien sûr ! Mais sûrement pas à l'adjointe de Direction qui ne sait les mettre au travail faute de compétence. Elle ne peut évidemment pas vérifier la qualité.
Il fallait trouver une solution : la mise au travail rapide des agents surchargés dès leur arrivée n'est pas possible vu que l'adjointe arrive après eux.
Dans la résidence cela fait jaser depuis longtemps mais Chut ! si vous dîtes quelque chose contre le pouvoir en place vous êtes aussitôt invité à chercher un logis ailleurs. Alors pauvre pékin on n'a pas d'autre solution que de subir et se taire.
Malgré cela il se pouvait que la DDASS fasse une visite inopinée et découvre la crasse. Alors faute de pouvoir pallier l'arrivée tardive de l'adjointe on embaucha rapidement un agent supplémentaire, une probable charge supplémentaire pour nos impôts déjà si lourds.
Au bout de quelques mois la nouvelle recrue cadencée au rythme des Îles a toujours beaucoup de mal à trier les quelques lettres qui sont déposées pour les 50 résidents quotidiennement par La Poste sur le comptoir de la résidence vers 10 heures.
Le tri et la distribution par un agent habituel prend à peine dix minutes et nous disposions tous les jours de notre courrier vers 11 heures.
Au bout de quelques mois la nouvelle recrue évoquant sa surcharge de travail la solution fut de la libérer de cette lourde tâche le matin et de ne distribuer le courrier que dans l'après-midi, vers 16 heures. Les Seniors qui n'ont plus d'urgences à régler peuvent bien attendre !
Un court répit, l'adjointe était en vacances, la ronde du café avait disparue, les agents étaient un peu plus actifs.
Aujourd'hui 13 septembre 2010 : rentrée de vacances de l'adjointe, la ronde du café reprend. Impossible de prendre une douche chaude.
Selon l'adjointe l'eau chaude va revenir dès demain, puisqu'elle a téléphoné au chauffagiste. Il est le seul a détenir les clés, il a de fait un monopole sur les interventions. Chacun de ses déplacements et de ses multiples interventions sont rétribués grassement sans aucun accompagnement des services techniques pendant les travaux ou lors de leur réception en fin d'intervention.
Bref on règle au bon vouloir de la société et sans contrôle. Gabegie bien sûr à la charge de l'éternel cochon payeur : le résident à Sully et les autres au Vésinet !
Et quand on signale un problème à l'adjointe ou à la directrice la réponse est top du top :ce n'est pas nous mais le service technique ou quelqu'un d'autre et je ne peux pas intervenir même pour passer un coup de téléphone !"
Pendant ce temps elle ne pouvait voir la crasse qui s'accumulait dans les cuisines et ailleurs. Il aura fallu une glissade malencontreuse pour que la Directrice s'en aperçoive.
A qui la faute de tout cela ?
Aux agents bien sûr ! Mais sûrement pas à l'adjointe de Direction qui ne sait les mettre au travail faute de compétence. Elle ne peut évidemment pas vérifier la qualité.
Il fallait trouver une solution : la mise au travail rapide des agents surchargés dès leur arrivée n'est pas possible vu que l'adjointe arrive après eux.
Dans la résidence cela fait jaser depuis longtemps mais Chut ! si vous dîtes quelque chose contre le pouvoir en place vous êtes aussitôt invité à chercher un logis ailleurs. Alors pauvre pékin on n'a pas d'autre solution que de subir et se taire.
Malgré cela il se pouvait que la DDASS fasse une visite inopinée et découvre la crasse. Alors faute de pouvoir pallier l'arrivée tardive de l'adjointe on embaucha rapidement un agent supplémentaire, une probable charge supplémentaire pour nos impôts déjà si lourds.
Au bout de quelques mois la nouvelle recrue cadencée au rythme des Îles a toujours beaucoup de mal à trier les quelques lettres qui sont déposées pour les 50 résidents quotidiennement par La Poste sur le comptoir de la résidence vers 10 heures.
Le tri et la distribution par un agent habituel prend à peine dix minutes et nous disposions tous les jours de notre courrier vers 11 heures.
Au bout de quelques mois la nouvelle recrue évoquant sa surcharge de travail la solution fut de la libérer de cette lourde tâche le matin et de ne distribuer le courrier que dans l'après-midi, vers 16 heures. Les Seniors qui n'ont plus d'urgences à régler peuvent bien attendre !
Un court répit, l'adjointe était en vacances, la ronde du café avait disparue, les agents étaient un peu plus actifs.
Aujourd'hui 13 septembre 2010 : rentrée de vacances de l'adjointe, la ronde du café reprend. Impossible de prendre une douche chaude.
Selon l'adjointe l'eau chaude va revenir dès demain, puisqu'elle a téléphoné au chauffagiste. Il est le seul a détenir les clés, il a de fait un monopole sur les interventions. Chacun de ses déplacements et de ses multiples interventions sont rétribués grassement sans aucun accompagnement des services techniques pendant les travaux ou lors de leur réception en fin d'intervention.
Bref on règle au bon vouloir de la société et sans contrôle. Gabegie bien sûr à la charge de l'éternel cochon payeur : le résident à Sully et les autres au Vésinet !
Et quand on signale un problème à l'adjointe ou à la directrice la réponse est top du top :ce n'est pas nous mais le service technique ou quelqu'un d'autre et je ne peux pas intervenir même pour passer un coup de téléphone !"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire