C'est un premier commentaire quant au rapport d'enquête. D'autres suivront peut-être.
Dans la recommandation émise par Denis UGUEN se trouve une information qui a probablement échappé au plus grand nombre et qui éclaire sur la duplicité de ceux, EPFY, État, Conseillers Juridiques de tout poil qui actionnent le maire et sur la légèreté (au minimum) de celui-ci.
La création de la Z.A.C. ne donne pas lieu à enquête publique.
Ce n'est pas ce qui a été dit lors des réunions publiques et rappellera quelques choses entendues lors des étapes juridiques successives de l'élaboration du projet de la Place du Marché dans la mandature précédente.
"Ce n'est pas maintenant qu'il faut aborder le sujet, on est dans l'avant-projet, on ne connait pas tous les tenants et aboutissants, on en débattra dès que le projet sera défini", entendait-on.
Puis l'étape étant acquise, quand le projet se précisait et que l'on voulait aborder le débat promis et adopter les amendements souhaités :
"Il n'est plus temps. Les actes ont été votés par le Conseil. C'était avant qu'il fallait manifester votre opposition".
Avis à ceux des conseillers municipaux de la majorité actuelle, de ceux qui parmi nous ont été conseillers municipaux et ont dû, à contre-cœur, accepter ces arguments :
Vous pourrez deviner les catastrophes en train de se dessiner.
Le projet vous aura échappé.
La ZAC sera créée, on vous dira que le P.O.S. révisé garantira le respect par le concessionnaire des volontés de la Ville, vous voterez OUI pour ne pas contredire votre vote précédent,
puis on vous demandera d'approuver le concessionnaire retenu, on vous assurera qu'il donne toutes les garanties et qu'il est indispensable à la réalisation de la Z.A.C. et vous voterez OUI pour ne pas contredire vos votes précédents,
puis vous n'aurez plus rien à dire, tout sera entre les mains du concessionnaire.
Dans la recommandation émise par Denis UGUEN se trouve une information qui a probablement échappé au plus grand nombre et qui éclaire sur la duplicité de ceux, EPFY, État, Conseillers Juridiques de tout poil qui actionnent le maire et sur la légèreté (au minimum) de celui-ci.
La création de la Z.A.C. ne donne pas lieu à enquête publique.
Ce n'est pas ce qui a été dit lors des réunions publiques et rappellera quelques choses entendues lors des étapes juridiques successives de l'élaboration du projet de la Place du Marché dans la mandature précédente.
"Ce n'est pas maintenant qu'il faut aborder le sujet, on est dans l'avant-projet, on ne connait pas tous les tenants et aboutissants, on en débattra dès que le projet sera défini", entendait-on.
Puis l'étape étant acquise, quand le projet se précisait et que l'on voulait aborder le débat promis et adopter les amendements souhaités :
"Il n'est plus temps. Les actes ont été votés par le Conseil. C'était avant qu'il fallait manifester votre opposition".
Avis à ceux des conseillers municipaux de la majorité actuelle, de ceux qui parmi nous ont été conseillers municipaux et ont dû, à contre-cœur, accepter ces arguments :
Après le 17 décembre 2009, il sera trop tard !
Vous pourrez regretter d'avoir été joués. Vous pourrez même le dire.Vous pourrez deviner les catastrophes en train de se dessiner.
Le projet vous aura échappé.
La ZAC sera créée, on vous dira que le P.O.S. révisé garantira le respect par le concessionnaire des volontés de la Ville, vous voterez OUI pour ne pas contredire votre vote précédent,
puis on vous demandera d'approuver le concessionnaire retenu, on vous assurera qu'il donne toutes les garanties et qu'il est indispensable à la réalisation de la Z.A.C. et vous voterez OUI pour ne pas contredire vos votes précédents,
puis vous n'aurez plus rien à dire, tout sera entre les mains du concessionnaire.
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