jeudi 7 octobre 2010

Les tribunes des élus

Que le monde est injuste pour nos vaillants du RPV !
Il faut le dire l'ensemble des difficultés qui accablent Le Vésinet sont le fruit de l'incivisme des Vésigondins !
Il y a trop de papiers qui sont jetés dehors des poubelles, trop de graffiti qui s'étalent sur nos murs, trop de crottes de chien...
Pourtant ce n'est pas faute d'avoir tout fait. Songez la Ville a embauché une brigade de 4 agents.
Heureusement la police a arrêté un délinquant et le RPV nous livre un SCOOP : les auteurs de ces actes d'incivisme ne sont pas toujours issus des communes voisines !

On les a voulus, on les a eus. Circulez y a rien à voir jusqu'en mars 2014.

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Le Vésinet Solidaire et Durable dénonce à quasi mi-mandat l'ambiance fin de règne qui sévit dans l'équipe municipale majoritaire. La liste fait l'inventaire des non-réalisations et des échecs.
Plusieurs suggestions sont lancées :
- finir la patinoire et récupérer les subventions (Une idée qui va finir par faire son chemin !)
- arrêter le gaspillage (En particulier les études à tout va si chères... au Consultant qui nous gouverne)
- répondre aux attente en logements sociaux (La résidence Joséphine Backer est vivement félicitée)
- réaliser les travaux prévus dans le plan à trois ans élaboré fin 2007 (Cela reviendrait à admettre que l'ancienne municipalité...)

Pour conclure par une alternative : se ressaisir (En gros agir) ou se démettre (Ben alors là c'est pas gagné !)

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La liste Union pour l'Avenir nous communique des extraits de sa lettre de juillet au Sous-préfet. Elle nous append que ce dernier n'y a pas encore répondu.

Le courrier semble bien construit. Peut-être est-il dommage que nous ne puissions le lire en entier. Nous proposons bien volontiers à la liste Union pour l'Avenir de le publier in extenso dans ce blogue.

Publié sous forme de lettre ouverte il inviterait peut-être le Sous-préfet à répondre.

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Claude CHATARD, comme les autres oppositions, souligne l'absence cruelle de réalisations de l'équipe municipale majoritaire.

Il déclare que le maire a choisit seul, en 2008, de privilégier le projet d'éco-quartier.

Claude CHATARD qui avait voté les pleins pouvoirs en avril et qui a approuvé la convention signée avec l'EPFY ajoute "au détriment de l'intérêt collectif".

Il est intéressant que le premier adjoint d'alors porte ce jugement. Espérons que l'AEB utilisera cet argument dans son contentieux avec la Ville au sujet de la révision simplifiée du POS.

Si les adjoints d'alors contestent la notion d'intérêt général comment la Ville justifiera-t-elle la révision simplifiée du POS ?

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