Premier élément de réponse : en prenant l'opposition au débotté, le maire a obtenu une approbation unanime du résumé succinct de la séance du 18 juin 2009.
Longtemps opposé aux libertés prises avec la vérité, le leader socialiste, André MICHEL, a voté cette fois-ci sans réagir.
De même les décisions du maire sont passées sans coup férir.
En particulier la décision 5597 en date du 19 août qui proroge la mise à disposition du consultant en charge de la Place du Marché, un logement jusqu'au 16 octobre.
Étonnante décision si on se rappelle la double page triomphale de la revue de juin titrant sur trois colonnes "LA PLACE DU MARCHE ACHEVÉE EN SEPTEMBRE"
Le projet de financement de ce parc à vélos étant terminé depuis quelques temps on peut se demander pourquoi la demande de subvention n'a pas été effectuée plus tôt. En tout cas on peut douter de son intérêt puisqu'en principe il ne peut être accordé de subventions rétroactives.
La véritable justification de cette séance impromptue a été de revenir sur une décision prise en janvier dernier et dont nous vous avions déjà rendu-compte dans un article intitulé "Pendant la démolition : les dégradations continuent".
A l'époque M. POTIER, maire adjoint à l'environnement, avait expliqué très sérieusement qu'il avait obtenu une remise de 19% sur les factures, moyennant la diminution de 30 à 50% des prestations.
La suppression totale des passages hebdomadaires des balayeuses-laveuses a laissé son cortège de saletés et les désagréments qui vont avec.
Les Vésigondins ont souffert de cette décision ubuesque et s'en sont plaints, y compris auprès des élus de la majorité.
Cela vous expliquera l'intervention de Nadine LANG.
Cliquez deux fois sur la flèche blanche dans la boîte verte pour entendre son intervention (50 secondes) ou sur le lien ci-après pour en découvrir la transcription littérale.
Pour se dédouaner de son pas de clerc, M. POTIER fait miroiter que des calculs très sérieux permettent d'espérer dans l'avenir des économies substantielles si la Ville passait le nettoiement en régie.
En attendant on remet en vigueur les prestations supprimées et l'on conclut un nouveau marché qui, hélas, coûte plus cher que le précédent.
Mais là n'est pas le problème !
Par incompétence, lâcheté ou duplicité, ce Monsieur auquel on donnerait le bon dieu sans confession, n'hésite pas à travestir la vérité de la façon la plus éhontée.
Le plus cocasse est qu'aucun des conseillers municipaux ne s'est aperçu de la supercherie.
Après une longue présentation des services de nettoiement déployés par la Ville (8 minutes), M. POTIER en vient au fait :
Cliquez deux fois sur la flèche blanche dans la boîte verte pour entendre son intervention (1 minute 30 secondes) ou sur le lien ci-après pour en découvrir la transcription littérale.
Il y a, selon nous, deux problèmes graves :
On a donc menti au Conseil tant sur la date de la décision précédente que sur les économies obtenues du fait de cette décision.
Est-ce acceptable ? Nous vous en laissons juges.
Longtemps opposé aux libertés prises avec la vérité, le leader socialiste, André MICHEL, a voté cette fois-ci sans réagir.
De même les décisions du maire sont passées sans coup férir.
En particulier la décision 5597 en date du 19 août qui proroge la mise à disposition du consultant en charge de la Place du Marché, un logement jusqu'au 16 octobre.
Étonnante décision si on se rappelle la double page triomphale de la revue de juin titrant sur trois colonnes "LA PLACE DU MARCHE ACHEVÉE EN SEPTEMBRE"
Le prétexte invoqué pour tenir cette séance était le besoin de voter in-extremis une demande de subvention parlementaire de 20.000 euros pour financer des parcs à vélos à la gare du Vésinet-Le Pecq.
Ce projet lancé par Mme LANG en 2006 vient d'aboutir après de nombreuses péripéties opposant cette dernière aux services techniques de la Ville et à l'architecte des bâtiments de France.
Ce projet lancé par Mme LANG en 2006 vient d'aboutir après de nombreuses péripéties opposant cette dernière aux services techniques de la Ville et à l'architecte des bâtiments de France.
Le projet de financement de ce parc à vélos étant terminé depuis quelques temps on peut se demander pourquoi la demande de subvention n'a pas été effectuée plus tôt. En tout cas on peut douter de son intérêt puisqu'en principe il ne peut être accordé de subventions rétroactives.
La véritable justification de cette séance impromptue a été de revenir sur une décision prise en janvier dernier et dont nous vous avions déjà rendu-compte dans un article intitulé "Pendant la démolition : les dégradations continuent".
A l'époque M. POTIER, maire adjoint à l'environnement, avait expliqué très sérieusement qu'il avait obtenu une remise de 19% sur les factures, moyennant la diminution de 30 à 50% des prestations.
La suppression totale des passages hebdomadaires des balayeuses-laveuses a laissé son cortège de saletés et les désagréments qui vont avec.
Les Vésigondins ont souffert de cette décision ubuesque et s'en sont plaints, y compris auprès des élus de la majorité.
Cela vous expliquera l'intervention de Nadine LANG.
Cliquez deux fois sur la flèche blanche dans la boîte verte pour entendre son intervention (50 secondes) ou sur le lien ci-après pour en découvrir la transcription littérale.
Pour se dédouaner de son pas de clerc, M. POTIER fait miroiter que des calculs très sérieux permettent d'espérer dans l'avenir des économies substantielles si la Ville passait le nettoiement en régie.
En attendant on remet en vigueur les prestations supprimées et l'on conclut un nouveau marché qui, hélas, coûte plus cher que le précédent.
Mais là n'est pas le problème !
Par incompétence, lâcheté ou duplicité, ce Monsieur auquel on donnerait le bon dieu sans confession, n'hésite pas à travestir la vérité de la façon la plus éhontée.
Le plus cocasse est qu'aucun des conseillers municipaux ne s'est aperçu de la supercherie.
Après une longue présentation des services de nettoiement déployés par la Ville (8 minutes), M. POTIER en vient au fait :
Cliquez deux fois sur la flèche blanche dans la boîte verte pour entendre son intervention (1 minute 30 secondes) ou sur le lien ci-après pour en découvrir la transcription littérale.
Il y a, selon nous, deux problèmes graves :
- La délibération qui a entériné la diminution des prestations rétroactivement au 1er janvier 2009 est la délibération n° 1180-7 du 21 janvier 2009 longtemps après le mois d'avril 2008.
1180-7 Avenant Sita - projet délib.pdf
Évidemment le 21 janvier 2009, alors que l'on vient d'augmenter les impôts de 50% il est plus difficile de justifier la dégradation significative des finances et la nécessité de rechercher des économies.
Est-ce que cela justifie un mensonge d'Etat (n'oublions pas que le Directeur général des Services à la haute main sur les projets de délibération) ? - Cette délibération expose que "Le montant du marché initial qui était de 649.222,16 €HT (les 776.469 € TTC de M. POTIER) se trouve ainsi porté à 550.075,27 €HT/an."
550.075 €HT font 657.890 € TTC, loin des 609.000 € TTC affirmés par M. POTIER.
L'économie réelle est donc inférieure à 100.000 e loin des 167.000 € que M. POTIER prétend.
On a donc menti au Conseil tant sur la date de la décision précédente que sur les économies obtenues du fait de cette décision.
Est-ce acceptable ? Nous vous en laissons juges.
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